9 mai, réponse du GUD aux médias

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1 – Le C9M de 2023 aura été l’édition la plus couverte et avec le plus d’affluence depuis 10 ans, ce qui a donné lieu à un traitement inédit : passage sur BFM, condamnation de Darmanin, etc. Retour sur l’événement qui déchaine les fantasmes de nos ennemis :

2 – Le C9M est un défilé organisé en la mémoire du militant Sébastien Deyzieu, tué par la police pour avoir manifesté contre l’impérialisme américain. Pour dénoncer la répression contre les nationalistes, le FNJ, les JNR et le GUD organisent un hommage transpartisan et annuel.

3 – Par sa nature, le C9M n’est pas prétexte à être le théâtre d’une quelconque confrontation. Les rares heurts qu’il a pu connaître dans les années 2000 ont été le fait des bandes antifas qui tentaient d’attaquer frontalement l’événement. Le but du C9M est d’honorer nos martyrs.

4 – Premier mensonge médiatique : le C9M serait un défilé néo-nazi, une débauche de slogans et de bras tendus. Dans les faits, cette année, il n’y a eu que ces deux slogans entonnés : « Europe, Jeunesse, Révolution » et « Sébastien ? Présent ! »

5 – Notre cri de ralliement Europe, Jeunesse, Révolution renvoie à notre cause : Nationalistes français, nous nous savons victimes des mêmes maux que nos camarades européens, colonisés et opprimés dans leur propre pays par des instances supra-nationales. Notre combat est le même. GUD Paris

6 – Quelques journalistes militants, notamment Yann Castanier, sont venus en marge de la manifestation pour provoquer et tenter d’obtenir des images chocs. Nous ne tolérons aucune tentative de fichage de la part de ces petits délateurs visant à nous condamner à la mort sociale.

7 – Du reste, ces faux journalistes, vrais militants antifas, s’assoient régulièrement sur l’éthique de leur profession. S’ils souhaitaient réellement informer, la première chose à faire serait de contacter l’orga du rassemblement pour discuter des modalités de son traitement.

8 – Certains ont pu tenter de pointer un hypothétique deux poids deux mesures. Il est évident que nous condamnons la répression absurde des casserolades par la Macronie. Quant au C9M, il s’est toujours tenu dans le respect de la légalité. Honorer un mort exige une certaine tenue.

9 – A l’inverse, les gauchistes ne sont jamais inquiétés. Chaque année, des rassemblements comme le 1er mai donnent lieu à des scènes de violence spectaculaires sans qu’aucune dissolution ne soit prononcé. Darmanin aura fait machine arrière sur chacune des procédures entamées.

10 – Ceux qui pointent du doigt un laxisme de la justice et du pouvoir sont bien entendu des idiots qui n’ont pas suivi la répression de plus en plus intense des nationalistes et identitaires depuis 10 ans. Arrestations, dissolutions, interdictions arbitraires sont notre lot.

11 – A ce jour, ce sont 11 mouvements nationalistes et identitaires qui ont été dissous en 10 ans. Plusieurs années de prisons pour différents cadres pour délit d’opinion ou s’être défendu face à des agresseurs. Des menaces d’interdire tout rassemblement dans l’espace public.

12 – Nous avons parfaitement conscience d’être pris pour cible comme l’ennemi idéologique principal du pouvoir et ne comptons pas baisser les bras face à ce déferlement de haine. Chaque année, nous continuerons de commémorer Sébastien et de rappeler le prix de notre engagement.

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