Bases du combat NR

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Nous combattons pour le renouveau de la France et la libération de notre peuple et de notre nation de l’esclavage colonial qu’ils subissent.

Cet esclavage colonial est le fait du capitalisme international dont le sionisme est l’instrument politique et l’inspirateur idéologique. La renaissance nationale passera par la prise de conscience de l’unité nationale par le peuple, qui repoussera les faux principes de lutte des classes, de luttes intestines politiques, sociales ou religieuses, fomentées par le pouvoir colonial pour la perpétuation efféctive de sa domination. Nous savons très bien qu’une lutte de libération nationale passe par l’unification du peuple colonisé et par le rejet de toutes les influences délétères qui ne visent qu’a provoquer des lignes de rupture en son sein, pour mieux l’affaiblir et lui interdire de se libérer.

Nous combattons pour une communauté nationale, unie et homogène, ce qui suppose une hiérarchie uniquement fondée sur le mérite, le refus d’une richesse trop grande insultant une pauvreté trop réelle et qu’il faut abolir.

La communauté nationale sera un instrument de développement des virtualité humaines contenues dans notre peuple. Elle assurera la défense et la promotion de chacun des individus la composant, emportant ainsi l’adhésion de tous les Français, en refusant toute désintégration du noyau communautaire (la famille, premier cercle de vie de l’individu) par les forces hostiles secrétées par la société décadente née du pouvoir colonial (drogue, pornographie, liquéfaction de ta famille sont les instruments d’action de nos exploiteurs pour mieux saper la volonté de défense de notre communauté).

Nous combattons pour un État nationaliste, puisque seul un État au service exclusif du peuple et de la nation peut donner à ceux-ci la possibilité de vivre d’une façon totalement indépendante et souveraine. Cet État nationaliste aura comme tâche de défendre l’intégrité du peuple, sa culture et sa civilisation ; il devra lutter contre les forces hostiles au peuple, que ces forces soient intérieures ou extérieures.

L’État nationaliste sera, avant tout, le bras armé de notre communauté nationale. Nous combattons pour un « socialisme nationaliste » qui n’est que l’expression de notre opposition radicale et absolue au capitalisme sous toutes ses formes.

Le capitalisme n’est que l’excroissance malsaine, dans le domaine économique du libéralisme politique et de l’idéologie sioniste.

Le socialisme nationaliste est la prise de conscience qu’une société communautaire est le volet économique et social indispensable de l’État nationaliste sur le plan politique.

Ce socialisme nationaliste gérera l’économie sur un double plan :

I – Il assurera le plein développement de la libre entreprise, inséparable du développement rapide des forces productives de la nation.

La propriété sera respectée et soutenue par l’État nationaliste en tant que véritable antidote du capitalisme monopolistique qui vise à sa destruction finale (sauf dans le cas d’une poignée de privilégiés) au même titre que le marxisme.

II – Il assurera le contrôle par la communauté nationale de tous les biens qui lui ont été indument soustraits et les utilisera pour le développement des forces productives de la nation.

Ill – Sur le plan des entreprises, l’État nationaliste aidera au développement de groupes autonomes de producteurs, tout en favorisant l’intéressement des travailleurs non seulement aux fruits de l’expansion des entreprises, mais aussi à la possession de l’outil même du travail.

L’objectif final du socialisme nationaliste sera la mise sur pied d’une communauté sociale homogène, celle de tous les travaiIleurs, celle de toud les producteurs, qui n’excluera de son sein que les parasites et les profiteurs.

Nous combattons pour une civilisation et une culture authentiquement nationales, c’est-à-dire issues de notre fonds historique et englobant harmonieusement toutes les langues, toutes les cultures, toutes les civilisations de l’espace territorial français. Nous refusons toute distinction, toute dépréciation de ces groupes divers ; ils confluent tous dans l’édification d’une culture aussi riche que diversifiée au sein de notre nation.

Cette civilisation, cette culture devront être la négation même de celles enfantées par la société actuelle, miroir déformé par la colonisation que nous subissons. Nous remettrons au premier rang notre histoire nationale, qui sera toujours le meilleur et le plus sûr ferment de notre identité nationale.

Nous n’oublions pas que la lutte de libération nationale doit se fonder sur la redécouverte de notre civilisation authentique, y compris au niveau du langage, que les déformations grotesques actuelles visent avant tout à détruire, pour affaiblir encore la conscience de notre peuple. La perte du langage est un facteur primordial d’aliénation pour le colonisé et sa récupération le facteur initial de toute revendication nationaliste comme le prouve clairement l’histoire.

Nous combattons pour un enseignement assurant la cohésion nationale en permettant le développement harmonieux des jeunes Français et leur intégration efficace sur le marché du travail.

Cet enseignement doit viser à développer les aptitudes de tous, à des niveaux différents, en refusant les techniques d’abrutissement chères aux colonialistes et à leurs fidèles alliés marxistes.

L’enseignement aura aussi pour tâche de former des citoyens libres, conscients de leurs devoirs envers leur peuple et leur nation.

Nous combattons pour permettre à un homme nouveau de se détacher de la gangue coloniale qui pervertit notre peuple.

La destruction systématique des idéaux de notre histoire est un instrument de rupture de notre communauté et la reconstruction d’une société libre permettra de redonner le sentiment glorieux d’appartenance à un grand peuple à tous nos concitoyens.

C’est, en cela que nous parviendrons à créer un homme nouveau, qui sera, tout simplement, un Français ayant retrouvé, avec son histoire et sa liberté, les qualités morales qui en firent l’un des peuples-phares de l’histoire de l’humanité.

Le colonialisme abaisse sur tous les plans l’homme colonisé ; sa libération le relèvera !

Nous combattons pour la libération de tous les peuples d’Europe, soumis les uns au calonialisme sioniste, les autres au colonialisme marxiste.

Pour parvenir à cette libération, nous croyons aux vertus de l’unité, dans le respect des diversités nationales. Les querelles entre nations européennes sont des instruments de domination sur les peuples européens et doivent être traitées comme telles.

L’existence de communautés libres entrainera l’apparition de nouvelles formes de vie internationale, fondée sur le co-nationalisme, à savoir l’accord de chaque État nationaliste pour édifier une plus grande Europe, nouvelle communauté de destin des peuples européens.

Nous combattons pour un nouvel ordre mondial, qui assurera la défense efficace de l’Occident face aux assauts extérieurs de l’impérialisme soviétique et au travail de sape intérieur du sionisme et de tous ses alliés.

Cet ordre mondial, hostile aux tentatives de gouvernement One World du sionisme et du marxisme, visant à écraser les nations et leurs civilisations, sera scrupuleusement respectueux des différences nationales et adoptera, au niveau mondial, les principes du co-nationalisme européen, dans tout ce qui a trait aux rapports avec les nations d’Occident.

Face au bolchevisme international nous ne pouvons que nous considérer en état de guere face à son agression permanente.

Face au sionisme international et à sa représentation visible, l’État israélien, nous sommes en état de guerre de libération nationale.

Face aux pays du Tiers Monde, ni le mépris ni la capitulation ne sont de mise. Nous estimons que le sionisme et le bolchevisme les poussent à une attitude agressive à l’égard de l’Occident, pour mieux les asservir. Nous n’avons quant à nous, aucune hostilité à leur égard et sommes prêts à coopérer avec les mouvements nationalistes, anticommunistes et antisionistes qui y existent.

Notre nouvel ordre mondial doit être celui des communautés nationales.

Toute immigration massive ne peut que déséquilibrer la communauté nationale en cause, ce qui nous entraine logiquement à combattre toute immigration susceptible de bouleverser nos équilibres ethniques et sociaux.

Ceci ne sous-entend aucune hostilité de principe à l’encontre des immigrés, mais notre attitude est fondée exclusivement sur un phénomène de simple défense vitale propre à tout groupe social un tant soit peu homogène.

Nous combattons pour que notre nation, une fois libérée du colonialisme qu’elle connait aujourd’hui soit assurée de conserver son indépendance nationale. Pour cela, une défense forte est indispensable, une défense fondée sur une volonté populaire active.

Une armée professionnelle bien équipée, renforcée par une garde nationale susceptible d’écraser toute entreprise subversive, toute infiltration armée, voilà l’instrument militaire que nous voulons pour notre nation.

La volonté de vaincre est la plus sûre défense pour un peuple ; forger cette volonté sera l’une des tâches primordiales de l’État nationaliste.

Nous combattons pour que notre Terre ne soit pas ravagée et détruite par une « civilisation » qui anéantit rapidement les richesses naturelles pour le seul profit final d’une petite clique d’exploiteurs. Les programmes de « modernisation » de notre espace territorial, le développement de l’énergie nucléaire, sont en train de détruire les bases mêmes de la vie de notre peuple.

Face à cette entreprise de destruction et de saccage de notre avenir, nous devons mener le combat de la civilisation humaine, celle du cadre naturel qui est le fondement qualitatif du nationalisme politique.

Nous combattons pour que notre peuple connaisse une véritable renaissance. Pour cela, seule une révolution peut libérer notre nation du joug colonial et donner un nouveau destin à notre communauté nationale.

Mais notre révolution nationaliste n’est pas une force destructrice aveugle, bien au contraire. Elle prend ses racines au plus profond de notre tradition historique. Loin de nier le passé, elle le fait renaître par delà un présent d’amertume et de dérision, pour mieux préparer l’avenir de notre peuple.

La révolution nationaliste est l’instrument de récupération de notre authenticité, et, cela dans tous les domaines : culturel, économique, politique, social.

Entreprise de libération, elle entend conserver ce qui n’a pu encore être détruit par nos colonisateurs, tout en bâtissant un ordre nouveau qui rendra définitif cette libération. Elle est au plus profond d’elle-même, une « révolution conservatrice », une révolution qui rétablira l’ordre impérial des temps glorieux de notre nation. Ordre adapté aux situations nouvelles mais héritier légitime de toute notre tradition millénaire. Cette tradition historique est le patrimoine de notre peuple et sa lente et progressive destruction n’est autre qu’une arme sournoise du pouvoir colonial pour mieux détruire notre force de résistance contre ses entreprises de sape.

Quiconque va à l’encontre de notre tradition historique nationale ne peut donc que faire le jeu de nos pires ennemis.

Les nationalistes-révolutionnaires conséquents n’ont rien de commun avec les maniaques de la « révolution destructrice », les nihilistes complices involontaires du bolchevisme.

Nous pouvons nous entendre avec les défenseurs de la tradition, même si nos divergences avec certains d’entre eux sont grandes ; nous n’avons, par contre, aucun point commun avec ceux qui croient follement devoir « faire du passé table rase » !

L’histoire de notre peuple est un tout et nous sommes pleins de respect et d’affection pour les institutions et les hommes qui permirent à la France d’être d’abord une nation et ensuite une « Grande nation ».

C’est en unissant le noir de la tradition et le rouge de la révolution que nous avons fait notre drapeau ; c’est en prenant la croix celtique comme insigne de la révolution nationaliste que nous estimons faire référence à notre emblème national le plus ancien et à sa double filiation : celle de l’Empire gaulois et de l’expansion celte ; celle des croisades et de la chevalerie chrétienne.

Ces symboles sont ceux-là mêmes qui doivent conduire notre combat pour la libération nationale et sociale du peuple de France.

Nous combattons pour une authentique participation du peuple au destin national. Le régime, simple camouflage du pouvoir étranger, n’est pas la représentation de la volonté populaire, il n’en est que la déformation.

En détruisant le régime des partis, satellite sans volonté propre, nous redonnerons la parole au peuple, nous lui permettront de décider librement de son avenir.

Nous sommes fermement contre un État totalitaire qui prétendrait dicter leur conduite à nos compatriotes. Nous voulons les éclairer et non les commander ; nous voulons créer un État où le pouvoir appartiendra au peuple, où une véritable communauté du peuple pourra assumer la responsabilité de la direction des affaires de la nation. La communauté du peuple organisera les circuits gouvernementaux nécessaires, par son choix propre au travers de délégués responsables devant elle et révocables par elle en cas de besoin.

La libération nationale servira à donner tout le pouvoir au peuple tout entier !

Nous combattons pour l’ordre nouveau, un ordre qui établira la justice sociale, détruira le capitalisme et le marxisme, construira une société communautaire, une éconotnie socialiste et les défendra contre toute agression, de l’extérieur comme de l’intérieur.

Cet ordre nouveau sera créé par une révolution organisée par un parti nationaliste qui aura comme tâche, non de se perpétuer au pouvoir, comme les vieux partis du regime, mais de laisser la place aux « groupes fonctionnels » issus de Ia communauté du peuple (garde nationale, organisations de jeunesse, syndicats, associations, etc).

Ces « groupes fonctionnels » assumeront ensuite la formation politique et sociale du peuple.

Le parti nationaliste, fer de lance de la révolution, n’est rien d’autre que l’outil politique du mouvement nationaliste-révolutionnaire, qui est indépendant de toute structure politique partisane.

Le MNR est l’organisation politique et idéologique du combat de libération nationale. Tout Français qui prend conscience de l’état actuel de servitude et d’abaissement de sa nation et qui veut y mettre fin ne peut qu’accepter le nationalisme-révolutionnaire en tant que seule idéologie adaptée à la lutte à mener pour l’indépendance française et ne peut qu’être membre potentiel du MNR. Le mouvement NR n’est ni la création d’un « chef » quelconque ni l’expression d’une clique politique. Il est supérieur aux individus qui le composent et n’est autre que la préfiguration, avant l’avénement de l’ordre nouveau, de la communauté du peuple qui sera l’expression politique achevé du peuple tout entier, au sein de l’État nouveau.

Nous combattons enfin dans le cadre plus large de la lutte historique de toutes les nations contre les projets de gouvernement mondial, ce One World Government voulu par les mondialistes et les marxistes.

Les nations sont des réalités historiques bénéfiques, indispensables au libre développement des communautés humaines.

L’homme ne prend sa signification véritable qu’au sein de sa communauté naturelle, c’est-à-dire la nation.

Il prend ainsi place au sein d’une chaine historique où il est un maillon parmi d’autres dans l’échelle du temps.

D’autres homme l’ont précédé, en lui léguant au jour de sa naissance (aptitudes génétiques) et par son éducation (aptitudes acquises) un support culturel extraordinaire, qu’il aura lui-même la possibilité de transmettre à ses descendants.

La volonté et le savoir de l’homme le rendent maître des forces rnatérielles. La nation est pour lui le seul authéntique fondemant de l’ordre mondial : fondée sur les réalités concrètes d’un territoire précis et d’une ethnie particulière, forgéepar des siècles d’une histoire individualisée et par un cadre étatique qui lui donne une vie réelle, la nation est la forme naturelle de toute importante communauté humaine, et donc de l’homme lui-même. Le XXe siècle reste, plus que jamais, le siècle des nations et notre lutte se place dans l’évolution normale de l’histoire.

Elle n’est pas un combat en retrait, voué à l’échec, mais bien l’annonce. des temps nouveaux.

Ces temps nouveaux seront ceux de la renaissance des vieilles nations qui, un moment engourdies et vaincues, reprendront la lutte au nom de leur passé glorieux pour construire un avenir victorieux.

Un avenir qui liquidera complètement la société de décadence et de corruption engendrée par le capitalisme et fera disparaître la société esclavagiste née du bolchevisme.

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