Votre groupe existe depuis combien de temps ?
Le RED existe depuis quelques années à Angers. Notre génération de militants est active depuis 1 an et demi.
Possède-t-il un local ou pas ? Y a-t-il véritablement un intérêt ou pas à en avoir un ?
Nous possédons un local qui fut au cœur de l’actualité angevine durant les émeutes de cet été, puisque nous avons dû le défendre face à des hordes de racailles montées par des antifas, durant 5 jours et 5 nuits consécutives.
L’intérêt d’un local militant est évident pour la construction d’un groupe soudé et efficace. C’est un lieu de vie communautaire qui permet de se retrouver avec les siens, d’organiser des événements ouverts au public, de préparer des actions, stocker du matériel… C’est aussi une manière d’investir l’espace public, en ayant une présence concrète et durable en centre-ville. Ici, tout le monde connaît notre rue désormais mythique !
Quelle est votre présence sur la toile ?
Nous sommes présents sur tous les réseaux sociaux au nom de RED Angers; Telegram, instagram, Facebook, X/Twitter, Tik Tok…
Aujourd’hui la mouvance française est très présente sur Instagram qui est très pratique via son système de stories mais limitant par la censure du système. C’est pourquoi Telegram (très utilisé chez nos voisins) est intéressant, de même que X (Twitter) qui est un espace à investir et qui est déjà très investi par le camp identitaire à l’étranger.
Tik Tok qui est le réseau social le plus important auprès de la jeunesse aujourd’hui, avec des chiffres astronomiques, reste à investir massivement pour nos mouvements (notre camp en général y étant déjà très présent !)
Si l’on devait vous classer, devrait-on écrire : national-catholique, NR ou identitaire ? Ou un mixte de tout cela ?
Effectivement, on pourrait dire un mixte de tout cela. La situation de la France et de l’Europe est telle que les querelles de chapelles n’ont pas lieu d’être. Nous sommes la génération qui verra les Français de souche devenir minoritaires sur leur propre sol avant de disparaître ! C’est un combat pour la survie de notre peuple, cela dépasse toutes les divisions.
Êtes-vous pro-Russes ou pro-Ukrainiens ? Ou ni l’un ni l’autre ? Et pourquoi ?
Nous soutenons nos camarades ukrainiens dans leur lutte nationaliste. Cependant, le drame qui se joue à l’Est est une tragédie pour l’Europe, qui voit sa jeunesse tomber sous les balles, alors que nous aurons plus que jamais besoin d’elle dans les temps difficiles qui s’annoncent.
Nous ne sommes pas dupes des intérêts supranationaux à l’œuvre dans ce conflit et ne nous résignons pas à nous soumettre à une puissance étrangère, que ce soit la Russie ou les États-Unis. L’Europe doit se réveiller et s’affirmer dans un monde de plus en plus multipolaire !
Quelle est la sociologie et l’échelle des âges de vos militants ?
Le RED est un mouvement de jeunesse. Nos militants ont en moyenne 20 ans.
Quelles sont les actions passées dont vous êtes les plus fiers ?
Plutôt qu’une action en particulier, nous sommes fiers de ce que nous avons réalisé jusqu’ici de manière générale, malgré la répression, les attaques de nos adversaires et les mensonges des médias : nous sommes une communauté jeune, soudée, investie et plus nombreuse que jamais. Nous sommes implantés en plein centre-ville où nous organisons des conférences, des actions, forgeons notre communauté, tissons des liens avec des camarades partout en Europe…
C’est cette communauté jeune et efficace, fruit d’un travail patient et sérieux, que nos adversaires ne supportent pas. Après des années d’offensives judiciaires et médiatiques, le système a tenté de passer la vitesse supérieure en profitant du chaos généralisé qu’il a lui-même permis en juin dernier. En envoyant ses antifas et ses racailles issues de l’immigration à l’assaut de notre local, en ordonnant à sa police de ne pas intervenir pour ainsi nous obliger à nous défendre nous-mêmes, il espérait obtenir un fondement juridique pour ensuite nous attaquer en justice !
Quel est le niveau de répression de la justice et des antifas auquel vous êtes exposés ?
Pour reprendre la réponse à la question précédente, l’État nous a donc poursuivis cet été pour avoir défendu notre local d’émeutes dont il est responsable et après avoir imposé à sa police de ne pas intervenir. Les antifas étant au cœur de cette offensive politico-judiciaire, puisqu’ils sont à l’origine des attaques de racailles sur nos militants. En effet, le 30 juillet, après avoir saccagé le centre-ville lors d’une manifestation interdite par la préfecture, leur black-bloc décide de s’attaquer à notre local. Nos militants, en sous-nombre, repoussent sans problème cette attaque. Cependant, les antifas, visiblement nés longtemps après la honte, ont décidé de rédiger un faux tract au nom des nationalistes, appelant à la ratonnade depuis… notre local ! Il n’en fallait pas plus pour exciter leurs racailles préférées, dont la “virilité rétrograde” n’est plus un problème lorsqu’il s’agit de faire le sale boulot dont ils sont incapables, se lancèrent alors à l’assaut de notre local pendant 5 jours et 5 nuits sans succès, jusqu’à ce que l’État décide enfin d’intervenir, en faisant fermer notre local et en envoyant au tribunal 6 de nos militants. Pas d’inquiétude pour nos assaillants, aucun d’entre eux ne sera poursuivi pour nous avoir attaqué à la machette et saccagé Angers !
Malgré cet acharnement politico-judiciaire, nous tenons bons, plus que jamais “debout dans la tempête”. Nous ne pouvons que remercier le système et tous ses idiots utiles, qui ne font que renforcer nos idées par leur bêtise crasse. Nous continuons à mener le combat, plus motivés que jamais.
Si vous souhaitez soutenir nos militants qui font face à d’autres procès concernant cette affaire, malgré une relaxe en août, ainsi que nous aider à faire face aux frais de réparation de notre local, vous pouvez donner ici.