Oswald Mosley sur la question raciale

Mosley

« Concernant ce sujet particulier, nous possédons un grand empire contenant de nombreuses races différentes. Ils [les Allemands] ne possèdent pas un tel empire, et leur but est une race allemande ragaillardie, géographiquement unie. Nous croyons profondément en notre propre race britannique qui a créé l’Empire, mais nous savons aussi qu’il serait mauvais pour l’Empire de stigmatiser par la loi d’autres races à l’intérieur de celui-ci comme étant inférieures ou parias. Nous avons créé cet Empire sans mélange racial ni pollution raciale, en raison du sens social et de la fierté de race britanniques. C’est un accomplissement unique dans l’histoire, et nous pouvons faire confiance au génie britannique à cet égard dans le futur comme dans le passé. Il ne devrait pas être nécessaire d’assurer la pureté raciale britannique par des lois. Il suffirait d’enseigner aux Britanniques par l’éducation et la propagande quels sont les mélanges raciaux qui sont mauvais. Si un Britannique comprend qu’une certaine action est mauvaise pour sa race, il ne la fera pas. Avec les Britanniques c’est une question d’enseignement plutôt que de législation, mais si la législation devenait un jour nécessaire pour préserver la race, le Fascisme n’hésiterait pas à l’introduire. »

(dans la brochure “Fascism – 100 Questions Asked and Answered”, 1936)

 

« Dire que le principe ‘Dieu a fait les hommes égaux, et ils sont tous égaux à ses yeux’ signifie que tous les hommes sont égaux et identiques en équipement pour leur fonction, c’est être complètement en désaccord avec les faits. (…) La vérité est que les hommes ne sont pas égaux ou identiques concernant la dotation naturelle et la capacité pour une fonction. Des hommes différents peuvent faire des choses différentes. Par conséquent la fonction, que cela nous plaise ou non, est inévitable, parce qu’elle exprime un fait. Le physicien doit être accepté comme une autorité pour la physique et le boxeur nègre comme une autorité pour la boxe. (…) nous devons admettre que des différences existent entre des hommes divers et des races diverses, qui suggèrent qu’ils doivent accomplir des fonctions différentes dans la vie. Nous pouvons mettre de coté l’argument stérile de savoir si une fonction est ‘supérieure’ et une autre ‘inférieure’ ; il suffit d’établir qu’elles sont différentes. »

(The Alternative, 1947)

[Une position « ethno-différentialiste ».]

 

« C’est une perte de temps de discuter de la manière dont ces différences ont surgi ou de quelles fonctions sont les plus grandes ; il suffit de reconnaître les différences essentielles qui sont aujourd’hui niées. Par exemple, beaucoup de temps a été perdu dans le passé pour savoir si une race ‘aryenne’ existe, et si elle vient des régions nordiques de l’Europe, du plateau perse, de l’Atlantide perdue, ou de Dieu sait où. Tenter de définir des choses dont l’origine est trop obscure pour se plier à une définition exacte doit être compté parmi les faiblesses de l’esprit teutonique, et expose celui-ci aux attaques dialectiques d’ennemis savants, ce qui n’est que perte de temps et n’a absolument rien de constructif à offrir. »

(The Alternative, 1947)

 

« Nous sommes favorisés par l’inestimable bénédiction d’une race européenne, qui est basée sur des millénaires de développement différencié (…). Ici nous sommes sur le terrain solide du fait que personne ne peut nier. Notre race, dans le monde moderne, est suffisamment différenciée pour que tout le monde la reconnaisse comme un fait, et aussi pour savoir ce qu’elle a accompli, et pour sentir ce qu’elle est capable d’accomplir. Il est aussi inutile de dire que toutes les races sont également douées que de dire que tous les hommes sont égaux en esprit, en muscle ou en caractère. »

(The Alternative, 1947)

 

« La race est la première réalité de l’unité européenne. Cette race unique d’hommes européens a en fait produit la culture, les valeurs et les réussites de l’Occident. Cette race, cette famille européenne, a produit la plupart des choses d’importance sur cette planète. Ces réussites sont dues à son caractère qui lui-même découle de la race.

Les chevaux vont plus loin et sont plus rapides que les ânes, parce qu’ils sont des chevaux et non des ânes. Nous ne pourrions pas nier les faits essentiels de la nature, même si nous le voulions. Nous ne pouvons pas non plus les étouffer sous un verbiage de mots.

Si nous devons bâtir, alors nous devons assurément bâtir sur des bases réelles et je sais que nous le faisons. Ainsi, j’affirme le fait que la première réalité et le fondement de l’unité européenne est la Race ! »

(article dans Union Magazine, 15 mai 1948)

[Une déclaration inhabituellement extrême de la part de Mosley – peut-être avec une intention « tactique » : ne pas perdre le contact avec les « durs » de sa base. Les véritables convictions de Mosley étaient plutôt ethno-différentialistes, assez proches de ce que fut plus tard la position de Ian Smith en Rhodésie, par exemple (pas de « racisme dur » comme en Afrique du Sud).]

 

« Il y avait un élément d’hystérie dans l’approche nazie de ces choses [la question raciale et la question juive], qui se termina en désastre. Le thème racial fut exagéré et poussé jusqu’aux extrêmes (je parle maintenant du temps de paix, et non des atrocités de guerre dont je parle dans une autre question). Une vision exagérée et hystérique de faits qui sont vrais en eux-mêmes peut conduire à une situation inhumaine dans laquelle des choses sont faites qui frustrent l’idée même qu’elle désirait promouvoir. Il est juste d’être fier de sa propre race et de tenter de la préserver, mais pas de perdre tout sens de l’équilibre et de la proportion sur le sujet. »

(interview dans les années 60)

 

« …à mon avis un homme devrait être aussi déterminé à préserver sa race qu’à préserver sa propre famille. (…) La première chose à noter est que les races sont différentes – je dis différentes l’une de l’autre, notez bien, pas supérieures ou inférieures l’une à l’autre. (…) Supérieur est un terme que je n’utilise jamais. Différent est le mot que j’utilise. »

(interview, 1967)

 

« Il est juste d’être fier de sa race et de vouloir la préserver, de même qu’il est juste d’être fier de sa famille et de vouloir la préserver. La race existe tout autant que la famille, et largement de la même manière. Elle est simplement une forme plus large de parenté. »

(interview, 1967)

 

« Ils parlaient de ce qu’ils appelaient le multiracialisme. Qui était simplement un mélange  universel. Prenez l’humanité, mettez-la dans un sac, secouez tout ça, et Dieu sait ce qui en sortirait. Ils voulaient se débarrasser de ce qui existait. Tous les petits hommes gris du monde, qui haïssent la belle diversité de couleurs du développement humain. Ils veulent toujours se débarrasser de ce qui est naturel, noble et beau. Ils voulaient s’en débarrasser, ils voulaient rendre toute la nature aussi grise qu’eux. Nous avons toujours été opposés à cela. Nous disions : ‘Non, cela ne marchera pas et il vaut mieux que cela ne marche pas’. Nous pouvons vivre dans la paix et l’amitié côte à côte dans des nations séparées et des développements séparés, mais nous ne pouvons pas avoir le mélange complet de gens et de races qui sont largement différents et divergents. Cela ne conduira qu’à des problèmes. »

(discours public, 1967)

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