Samedi 10 février, les militants du GUD Paris ont rendu hommage à Robert Brasillach et aux martyrs du 6 février 1934 afin de réaffirmer leur fidélité à l’héritage que leur ont légué tous les combattants nationalistes tombés pour leur idéal.
Suite à cette commémoration pacifique, 39 militants du GUD ont été arrêtés par la Brav-M puis placés en garde à vue sous un motif fallacieux.
Après plus de 24h passés en cellule, l’intégralité des militants du GUD ont été relâchés sans poursuite.
Le pouvoir tente de nous épuiser par une répression aveugle qui se durcit au fil des mois.
Loin de nous décourager, cet acharnement judiciaire renforce nos convictions et nous encourage à continuer le combat politique pour l’avenir de notre France et de l’Europe.
Quand l’esprit se souvient la flamme se maintient.