Communiqué d’An Tour-Tan

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Malgré la mobilisation de 40 000 gendarmes et policiers, de nombreuses villes ont été le théâtre d’innombrables dégradations et de scènes de guerre. Alors que la situation semble sur le point de devenir hors de contrôle, An Tour-Tan aborde les récents événements avec gravité.

Les grandes villes de Bretagne ont également été touchées. Les émeutiers des enclaves extra-européennes ont ravagé Nantes, Brest, Rennes et même Saint-Brieuc en vandalisant, pillant et incendiant commerces, bus, salles de sport et mobilier urbain. Les dégâts sont considérables, témoignant de l’incapacité de l’État français à assurer l’ordre et la sécurité des citoyens.

Il est évident que le déferlement auquel nous sommes confrontés n’a rien à voir avec une quelconque volonté de justice. Le drame de Nanterre est simplement utilisé comme prétexte pour exprimer une hostilité envers notre civilisation, une volonté de nous asservir, de nous anéantir.

La principale raison de l’accroissement de l’insécurité et de l’intensification de ces épisodes réside dans la submersion migratoire organisée et entretenue. L’État, les partis politiques et les associations immigrationnistes sont responsables et doivent être dénoncés. Cette immigration est incompatible avec les fondements de nos sociétés européennes. Elle met en danger nos vies et celles de nos enfants, nous appauvrit, dégrade nos services publics et altère notre moral au quotidien.

Maintenant, quelle sera la réponse politique du Président et de son gouvernement ? Annonceront-ils un nouveau grand plan pour les banlieues ? Exigeront-ils de nous, Bretons et autochtones européens, de supporter à nouveau les conséquences de leur politique migratoire désastreuse ?

Face à cette situation inédite, An Tour-Tan exhorte le gouvernement français à prendre des mesures immédiates pour stopper les flux migratoires pour notre sécurité et pour préparer la nécessaire politique de remigration. Nous réclamons également la reconnaissance du peuple et de la nationalité bretonne, la fin des quotas de logements sociaux en Bretagne, ainsi qu’un moratoire sur le financement des associations culturelles extra-européennes.

 

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