Les meurtres
Les meurtres de trois petites filles perpétrés par un adolescent d’origine rwandaise à Southport en début de semaine ont choqué la nation. Ces meurtres horribles sont le résultat d’une immigration de masse incontrôlée, de ceux qui scandent « refugees welcome » et de ceux qui, dans les gouvernements successifs, ont ouvert nos frontières. Ils ont le sang de ces jeunes filles sur les mains.
Il y a deux choses qui doivent changer immédiatement afin de protéger notre peuple :
1. Il faut arrêter complètement toutes les traversées de la Manche et refouler tous les bateaux transportant des migrants. Nous ne pouvons plus permettre à ceux-ci d’entrer dans notre île.
2. Nous devons expulser tous les migrants illégaux et les soi-disant « demandeurs d’asile ».
Le risque que ces migrants font courir à notre peuple – en particulier à nos enfants – est bien trop grand.
Enfin, Axel Rudakubana, le jeune homme de 17 ans qui a assassiné les jeunes filles à Southport, devrait être condamné à la peine capitale pour ses crimes.
Un message clair doit être envoyé : la Grande-Bretagne n’acceptera plus les flots de migrants du monde entier, elle ne sera plus un refuge pour les immigrés clandestins et elle ne tolérera plus ces horribles attaques contre son peuple.
La réponse : des manifestations de masse
Depuis les meurtres, des manifestations ont eu lieu dans tout le pays. Certaines de ces manifestations ont donné lieu à des troubles et à des affrontements avec la police. Bien que nous ne tolérions pas la violence ou le désordre, la responsabilité de ces incidents incombe à l’establishment.
Le gouvernement a importé des milliers de migrants meurtriers et violents contre la volonté du public.
La police a permis à ces migrants et à leurs descendants de commettre des crimes horribles contre des Britanniques blancs, puis les a couverts en harcelant les Blancs qui osaient dire la vérité.
Les médias ont menti, et menti encore. Ils ont utilisé leur pouvoir pour salir et diffamer toute personne ou tout groupe qui se mobilisait contre la colonisation de notre petite île natale.
Ce sont ces personnes et ces groupes qui se sont entendus pour créer les conditions qui ont conduit au massacre des trois petites filles par un migrant armé d’un couteau. Les hommes blancs sont descendus dans la rue et ont attaqué la police parce qu’ils ont été ignorés, calomniés et persécutés – ils ont estimé qu’il n’y avait pas d’autre moyen de se faire entendre.
Nous, les Britanniques blancs, sommes les victimes d’une tyrannie multiculturelle antiblanche qui nous a dépossédés du pouvoir et fait de nous des citoyens de seconde zone dans notre propre pays. La responsabilité des incidents ne doit pas être imputée aux personnes qui ont été battues, ignorées ou dont les enfants viennent d’être assassinés. C’est l’establishment anti-blanc qui est responsable de tout cela.
Les manifestations vont de l’avant
Nous appelons au calme. Si les manifestations sont essentielles dans une société libre et démocratique, elles doivent rester pacifiques, dignes et conformes à la loi. Nous sommes bien conscients que la police traite les manifestants blancs différemment de ceux issus de minorités ethniques.
Les différentes méthodes de maintien de l’ordre employées ces dernières semaines en témoignent clairement. La façon dont les groupes de minorités ethniques impliqués dans les troubles à Leeds ont été traités par la police était complètement différente de la façon dont les blancs impliqués dans les troubles à Southport l’ont été.
Les Blancs ont reçu des coups de matraque, oont été attaqués par des chiens et ont été arrêtés en grand nombre. Lorsque les minorités ethniques se heurtent à la police, c’est une autre histoire. La police traite les groupes ds minorités ethniques avec des gants, souvent en reculant et en permettant à ces groupes de faire ce qu’ils veulent.
De plus, nous ne pourrons jamais oublier les scènes où des policiers ont « mis un genou à terre » pour les militants de Black Lives Matter, qui ont été impliqués dans des troubles graves et des actes de dégradation criminelle.
Les gens doivent protester, mais ils doivent le faire pacifiquement. Les participants aux manifestations devraient s’abstenir de se heurter à la police – même lorsqu’ils sont provoqués. Les manifestants blancs devraient filmer chaque interaction avec la police et documenter les inégalités violentes auxquelles ils sont confrontés de la part de l’État.
La réponse du gouvernement
Keir Starmer a tenu une conférence de presse qui ne s’est pas concentrée sur la mort des trois jeunes filles innocentes de Southport, et qui n’a pas non plus proposé de solutions ou de protections pour les enfants britanniques. Toute sa réponse a été axée sur la lutte contre l’extrême droite.
Les « solutions » de Starmer au « problème » sont les suivantes :
– Une nouvelle force de police stalinienne pour surveiller les dissidents politiques d’extrême droite,
– L’interdiction de voyager pour les militants d’extrême droite connus,
– Une nouvelle technologie de reconnaissance faciale pour surveiller les manifestants blancs,
– Une répression des entreprises de médias sociaux pour limiter davantage la liberté d’expression,
– La criminalisation des manifestations contre l’immigration.
Ce que les « solutions » de Starmer n’incluent pas :
– Une protection pour les enfants britanniques,
– Des restrictions ou un contrôle des migrants,
– La révision des procédures policières de contrôle des migrants figurant sur les listes de surveillance,
– Ce pouvant être utile pour empêcher un nouveau massacre de Britanniques autochtones par des soi-disant « réfugiés ».
En tant que tel, le gouvernement de Keir Starmer a déjà perdu toute légitimité réelle. Lui et ses acolytes ont doublé leur programme d’ouverture des frontières et, au lieu de chercher à protéger les Britanniques, ils cherchent à imposer de nouvelles restrictions aux droits des Britanniques autochtones qui souhaitent exprimer leurs préoccupations légitimes et leur colère justifiée.
Conclusion
Ce qui s’est passé à Southport est le résultat direct des politiques d’immigration libérale et d’ouverture des frontières et des changements démographiques que ces politiques ont entraînés. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les nationalistes britanniques ont mis en garde contre ce cauchemar à venir, mais l’establishment britannique a systématiquement ignoré ces avertissements, préférant diaboliser ces nationalistes.
Combien d’enfants britanniques devront encore mourir avant que notre gouvernement n’agisse pour empêcher que cela ne se reproduise ?
Malheureusement, le gouvernement britannique est tellement attaché au multiculturalisme et à l’immigration de masse qu’il ne se soucie pas du nombre d’enfants britanniques sacrifiés sur l’autel de la « diversité ».