Des camarades nationalistes ont investi la cité de la Monnaie à Romans-sur-Isère. Ce trou à rats est le nid des assassins de notre petit-frère Thomas.
Gloire à eux pour leur courage. Ils ont évidemment fait face à une police surmobilisée pour empêcher des Français de rendre la justice qui doit l’être, puisque, comme nous l’avons toujours martelé, « ils ne nous protègent pas : ils nous contrôlent ».
Pendant que d’autres n’ont fait que se répandre en analyses, en jérémiades ou en « à quoi bon », certains ont décidé de se faire le bras vengeur de l’Histoire. Quoi qu’il se soit passé, une chose et sûre : aucun de ceux qui sont restés sans agir depuis la mort de Thomas (pianoter sur un clavier ne constituant pas ici un acte) n’a la légitimité de donner des leçons à qui que ce soit.