« Politique signifiait pour nous : destin. En dehors de notre sphère la politique était gouvernée par les intérêts. »
Ernest von Salomon, in 𝐿𝑒𝑠 𝑅𝑒́𝑝𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 (1930)
Alors que la gauche n’est capable de se mobiliser que pour réclamer plus de confort et pour devenir bourgeois à la place du bourgeois, nous aspirons à élever notre peuple, à lui offrir un destin : qu’il serve la nation, qu’il honore ce qui dépasse l’individu et le matériel.
Notre mouvement s’oppose évidemment aux diktats de la technocratie qui vise à écraser le peuple pour servir un projet mondialiste, et dont la réforme des retraites est un symbole. Néanmoins, le nationalisme ne peut s’arrêter à la défense des acquis sociaux.
Nous devons réconcilier le social et le national. En cela, nous devons affirmer que le socialisme adossé au nationalisme est le seul salut possible pour le peuple, sans le réduire à son bien-être matériel (gauchisme) et sans le décérébrer au profit de l’Étranger (libéralisme).
Maurice Barrès, dans son ouvrage 𝑆𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑐𝑡𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒, parle ainsi de « l’amélioration matérielle et morale de la classe la plus nombreuse et la plus pauvre. » Voici la voie, et elle ne se cantonne pas au confort.
Groupe L’Oriflamme (Rennes).