Or, on sait que, partout où l’intérêt économique prédomine, le Juif se montre et parvient à accéder rapidement aux postes de commande. La pénétration du judaïsme en Angleterre ne date pas d’hier. C’est la révolution anglaise et le protestantisme qui lui ont ouvert les portes de la Grande-Bretagne. Les Juifs, qui avaient été expulsés par Edouard I en 1290, ont été réadmis en Angleterre par suite d’une pétition soutenue par Cromwell et finalement approuvée par Charles II en 1649. C’est à partir de cette époque que les Juifs, surtout les Juifs espagnols (les sépharades), ont commencé à émigrer en masse en Angleterre, où ils ont apporté les richesses qu’ils avaient accumulées ailleurs de façon plus ou moins douteuse, et ce sont ces richesses qui, comme nous venons de l’indiquer, leur ont permis d’accéder aux centres de commande de la vie anglaise, en commençant par l’aristocratie et les milieux très proches de la Couronne. Moins d’un siècle après leur réadmission, les Juifs se sentaient donc tellement sûr d’eux qu’ils ont demandé leur naturalisation, c’est-à-dire la citoyenneté anglaise. C’est là que se produit un évènement très intéressant : la loi, ou bill, de naturalisation des Juifs est approuvée en 1740. La plupart de ses partisans étaient des membres des classes supérieures et des hauts dignitaires de l’Église protestante, ce qui montre à quel point ces éléments étaient déjà enjuivés ou corrompus par l’or juif. La réaction n’est pas venue des classes supérieures anglaises, mais du peuple. La loi de 1740 a provoqué de telles émeutes et de tels désordres dans la population qu’elle a dû être abrogée en 1753.
Les Juifs recoururent alors à une autre tactique : ils abandonnèrent la synagogue et se convertirent, nominalement, au christianisme. Ainsi, l’obstacle fut facilement contourné et l’œuvre de pénétration se poursuivit à un rythme accéléré. Ce qui importait aux Juifs, c’était de conserver les postes de commande et d’éliminer les arguments religieux sur lesquels s’appuyait principalement l’opposition à cette époque-là : tout le reste était secondaire, car le Juif converti restait, par son instinct, sa mentalité et sa manière d’agir, tout aussi Juif, comme le montre un exemple frappant parmi tant d’autres : le très influent banquier juif Sampson Gideon, bien qu’il se fut converti, continua à soutenir la communauté juive et se fit enterrer au cimetière juif. Avec son argent, il acheta à son fils une immense propriété et le titre de baronet.
Ce fut là la tactique préférée des riches Juifs en Angleterre à partir du dix-huitième siècle : ils supplantèrent la noblesse féodale anglaise en acquérant leurs biens et leurs titres, et c’est ainsi que, en se mêlant à l’aristocratie, en raison du système représentatif britannique, ils se rapprochèrent de plus en plus du gouvernement, ce qui eut pour conséquence naturelle et inévitable un enjuivement progressif de la mentalité politique anglaise.
Par ailleurs, de 1745 à 1749, Sampson Gideon avait financé le gouvernement anglais avec des capitaux qu’il avait doublés de façon douteuse en spéculant sur la guerre de Sept Ans, plus ou moins comme le fit Rothschild en rachetant pour une bouchée de pain des actions dont il avait fait baisser la valeur, alors que, à l’exception de ses agents, personne ne connaissait l’issue de la bataille de Waterloo. En même temps, pour accroître leur influence, les Juifs s’allièrent systématiquement à la noblesse ; le fait que, en 1772, on ait ressenti la nécessité d’empêcher le mariage des membres de la maison royale anglaise avec des Juifs par la Royal Marriages Bill peut nous donner une idée de l’ampleur de la pénétration juive.
C’est par ces deux moyens que s’établit une convergence d’intérêts de plus en plus apparente entre l’impérialisme anglais et le capitalisme anglais, qui était lui-même lié par des liens indissolubles et de plus en plus complexes au capitalisme juif. Mais, en dehors de l’impérialisme au sens large, ce qu’on sait moins, c’est que « l’empire britannique » fut une création inédite du judaïsme, qu’un Juif offrit à la couronne royale anglaise.
Ce Juif était Benjamin Disraeli, premier ministre de la reine Victoria, anobli avec le titre de Lord Beaconsfield. Cet évènement est particulièrement intéressant. Auparavant, il ne serait venu à l’esprit de personne d’associer la dignité impériale à une idée de richesse comme celle qui est attribuée aux possessions coloniales. Même après le moyen âge gibelin, tout esprit traditionnel y aurait vu une véritable extravagance et une caricature, puisque l’idée impériale a toujours eu quelque chose de sacré et qu’elle a toujours été liée à une fonction supérieure de domination et de civilisation et à un droit, d’une certaine manière, transcendant. Il n’y a qu’un Juif qui pouvait avoir l’idée de « réformer » la conception de l’empire, d’en faire quelque chose de ploutocratique et de le transformer en matérialisme impérialiste. Ce Juif était Disraeli – Dizzy, comme on le surnommait. C’est lui qui fit de la reine Victoria une « impératrice », une impératrice coloniale, l’impératrice des Indes. Infatigable partisan de l’idée « impériale » anglaise, il la concevait sur le modèle de l’idée messianico-impérialiste juive, l’idée d’un peuple dont la puissance est la richesse des autres peuples, dont il s’est emparé, qu’il exploite et contrôle cyniquement. Disraeli s’en prit toujours très violemment à ceux qui voulaient séparer l’Angleterre de ses territoires d’outre-mer, où, comme le dit un historien israélite, les Juifs avaient été des pionniers. C’est que Disraeli savait qui soutenait cette Angleterre qui devait dominer les richesses du monde ; il se peut qu’il ait été de ces initiés qui savaient que ce n’était pas la simple ploutocratie britannico-juive qui tirait les ficelles. En effet, on connaît ces mots, souvent cités, de Disraeli : « Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ceux qu’imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses » (Sybil).
« Quel acteur, cet homme ! Et pourtant, la première impression qu’il nous donne est celle d’une sincérité absolue. Certains le considèrent comme un étranger. Est-ce l’Angleterre qui lui appartient ou lui qui appartient à l’Angleterre ? Est-il conservateur ou libéral ? Tout cela revient sans doute au même pour lui. La puissante Venise, la république impériale sur laquelle le soleil ne se couche jamais, c’est là la vision qui le fascine. L’Angleterre est l’Israël de son imagination et, si la chance est avec lui, il sera le premier ministre de l’Empire ».
Le critique qui a écrit ces mots sur Disraeli, alors qu’il n’était encore que le leader du parti conservateur, s’est donc révélé avoir vraiment l’esprit prophétique. Ces mots renferment le véritable esprit de l’action de « Dizzy ». La référence à Venise, en fait, vient de ce que la famille Disraeli, originaire de Cento près de Ferrare, avait cherché fortune à Venise avant de partir pour l’Angleterre ; aussi est-ce en quelque sorte à cause de sa famille que Dizzy s’est souvenu de l’idéal « impérial » vénitien, au rang duquel, en étroite connexion avec l’idée juive, il voulait élever l’Angleterre. C’était, là encore, l’idée impériale du marchand, la puissance d’une oligarchie bourgeoise fondée sur l’or, le commerce, les possessions d’outre-mer, les trafics. Le reste ne servait que de moyen et d’instrument. Mais, pour pouvoir réaliser cet idéal « vénitien », puisque Venise était, au moins théoriquement, une république libre, il fallait priver encore davantage l’Angleterre de tout ce qu’elle avait conservé de l’ancien esprit traditionnel dans son organisation. On a ici un autre aspect caractéristique de l’action de Disraeli.
Nous ne pouvons pas faire ici un exposé approfondi des conflits entre les partis politiques anglais du temps de Disraeli. De toutes façons, la plupart de nos lecteurs connaissent la lutte entre les tories, partisans du roi, conservateurs et pour la plupart catholiques, et les whigs, aristocratie luthérienne jalouse de son indépendance et favorable aux nouvelles idées libérales. Le chef d’œuvre de Disraeli a été de dépasser dans une certaine mesure cette opposition en prenant la direction d’un nouveau parti, appelé, au sens restreint, conservateur, et dont les idées avaient assez de poids pour neutraliser ce qu’il y avait encore de bon dans un des partis antagonistes susmentionnés à l’aide de ce que l’autre pouvait offrir. Autrement dit, dans le parti conservateur de Disraeli, les vrais conservateurs sont devenus libéraux et les libéraux, au contraire, sont devenus, dans une certaine mesure, conservateurs, car, en raison des idées utilitaristes que ceux-ci professaient, il a été facile de leur montrer que leurs intérêts matérialistes et ceux de leurs adversaires coïncidaient. Ayant ainsi réalisé, avec son nouveau parti, le quid medium, Disraeli a fait de l’Angleterre une simple république oligarchique. En réalité, son parti conservateur était une sorte de clique unie par des intérêts communs de classe, mais intérieurement divisée, épris de libéralisme, sans aucun idéal. Naturellement, l’influence juive et maçonnique y était prépondérante.
Il semble toutefois que Disraeli voyait encore plus loin, comme le montre son cycle romanesque, La nouvelle Angleterre. Sybil ou les deux Nations reflète exactement la tactique idéologique qu’avait déjà employée la maçonnerie pour préparer la révolution française. Disraeli n’y dissimule pas son enthousiasme pour les classes inférieures de la société, prédisant que ce sont elles qui feront l’histoire, quand elles seront guidées par leurs chefs naturels, une nouvelle élite éclairée qui aura dépassé les préjugés du passé. De semblables idées enthousiasmaient la nouvelle génération de la noblesse anglaise, qui rêvait de jouer ce nouveau rôle directeur d’aristocrates « éclairés », creusant de ce fait leur propre tombe. Dans l’autre roman du même cycle, Coningsby, le personnage central est un Juif mystérieux d’origine espagnole, Sidonia – « un mélange de Disraeli et de Rothschild, ou, mieux, de ce que Disraeli aurait voulu être et de ce qu’il aurait voulu que Rothschild soit » (Maurois). Ce Sidonia enseigne à Coningsby, symbole de la nouvelle Angleterre, la doctrine de l’« ambition héroïque » ; là encore, on retrouve l’idéal pseudo-conservateur de Disraeli. La solution, pour Sidonia, est un gouvernement aux idées conservatrices mais aux pratiques libérales. En fin de compte, dès lors que l’aristocratie anglaise tory était devenue libérale et que ses idées n’étaient plus que de simples « principes » sans conséquences pratiques, il ne restait plus qu’à flatter l’ambition de cette classe pour que ses membres jouent le rôle de chefs du peuple, destinés, naturellement, à être évincés dans la phase suivante de la subversion, ainsi que cela s’était produit pour l’aristocratie française qui avait caressé les idées nouvelles. A ce sujet, en dehors des idées exposées dans le livre, il faut noter que c’est Disraeli qui a introduit le suffrage universel en Angleterre, au moins sous une forme préliminaire (vote des chefs de famille propriétaires), car il a eu l’habileté de présenter la chose comme un compromis acceptable par les tories aussi bien que par les whigs. Mais le travail destructeur de Disraeli ne s’est pas limité au domaine politique, il a essayé de s’étendre aussi au domaine religieux. C’est ici que le Juif jette purement et simplement le masque. Il lui fallait miner aussi les parties saines de l’Angleterre dans leur fondement le plus profond, qui était la religion chrétienne, et, surtout, la religion catholique. C’est à cet effet que Disraeli avança la fameuse théorie de la convergence et de l’intégration réciproque du judaïsme et du catholicisme. Voici ce qu’il écrit dans Sybil : « Le christianisme sans le judaïsme est incompréhensible, de la même façon que le judaïsme sans le catholicisme est incomplet ». Dans Tancrède, il en rajoute, prétendant que le devoir de l’Église est de défendre, dans une société matérialiste, les principes fondamentaux d’origine juive qui figurent dans les deux Testaments. Cette thèse était tellement extrême que Carlyle déclara que les « insolences juives » de « Dizzy » étaient insupportables et demanda « pendant combien de temps encore John Bull permettrait à ce singe absurde de danser sur son estomac ».
Mais, en matière de judaïsme, Disraeli, qui, parce qu’il avait été baptisé, se déclarait chrétien, était intransigeant et prêt à tout. Par tous les moyens, sans se soucier du scandale, il a soutenu la thèse de l’alliance entre les « conservateurs » affaiblis que nous venons de mentionner et les Juifs. Persécuter les Juifs est la plus grosse erreur que puisse commettre le parti conservateur, parce qu’il en arrivera ainsi à les transformer en chefs de mouvements révolutionnaires. Il y a ensuite la question morale. « Vous enseignez aux enfants l’histoire des Juifs », a dit Disraeli dans son fameux discours à la Chambre des Communes. « Les jours de fêtes, vous lisez à haute voix aux vôtres les exploits des Juifs ; le dimanche, si vous voulez chanter les louanges du Très-Haut ou vous consoler de vos malheurs, vous cherchez dans les chants des poètes juifs l’expression de ces sentiments. C’est en proportion exacte de la sincérité de votre foi que vous devriez accomplir ce grand acte de justice naturelle… comme chrétien (?), je ne prendrai donc pas la terrible responsabilité d’exclure ceux qui appartiennent à la religion dans laquelle est né mon seigneur et sauveur ».
Il n’aurait pas pu aller plus loin dans l’impudence. En fait, cette déclaration a provoqué un scandale chez les « conservateurs », mais sans conséquences. La pénétration prudente et silencieuse de la juiverie dans les classes supérieures anglaises et dans le gouvernement lui-même continuait. C’est à Disraeli qu’on doit le coup de main anglais sur l’Égypte en 1875 – avec l’aide de qui ? De Rothschild. En 1875, le khédive avait des ennuis financiers et Disraeli est parvenu à savoir qu’il était disposé à vendre 177 000 actions du canal de Suez. L’occasion était magnifique de s’assurer le contrôle de la route des Indes. Le gouvernement hésite. Rothschild non. Voici les répliques de la conversation historique entre Disraeli et Rothschild (Disraeli lui demande quatre millions de Livres Sterling) : « Quelle garantie avez-vous à me fournir ? » – « Le gouvernement britannique » – « Vous aurez cinq millions demain », et il le lui accorde à un taux d’intérêts « extrêmement bas » ; naturellement, les intérêts véritables et importants de la clique juive se situaient sur un autre plan, moins visible…
Disraeli n’a pas manqué non plus de faciliter aux Juifs d’Angleterre l’observance rituelle de la loi juive. Fait peu connu, le « samedi anglais » n’est pas autre chose que le sabbat juif, le jour de repos rituel des juifs. C’est justement Disraeli qui l’a introduit en Angleterre, sous un prétexte « social » adéquat.
Donc, alors que l’enjuivement de l’ancienne Angleterre féodale s’accomplissait par des moyens divers, que la veille aristocratie se décomposait graduellement et se voyait inoculer les idées qui en feraient la proie des influences matérielles et spirituelles du judaïsme et de la maçonnerie, Disraeli n’oubliait pas l’autre tâche, celle d’accroître et de renforcer la puissance du nouvel empire des marchands, de la nouvelle « Venise impériale », de l’Israël renaissante de la Promesse. Il le fit dans un style tout aussi juif. Disraeli a été un des principaux instigateurs de cette triste et cynique politique internationale anglaise par personnes interposées « protégées » et de chantage, qui est actuellement poussée jusqu’à ses conséquences extrêmes. Le cas le plus frappant fut celui la guerre russo-turque. Disraeli n’hésita pas à trahir tout d’abord l’ancienne cause de la solidarité européenne en plaçant la Turquie sous protection anglaise. La Turquie, vaincue, est sauvée par l’Angleterre : par la méthode « anglaise » bien connue des menaces et des sanctions, Disraeli réussit à paralyser l’avance slave vers le Sud, sans qu’un seul coup de fusil soit tiré, et la Turquie lui fait même cadeau de Chypre. Au congrès de Berlin, l’ambassadeur russe Gortshakov ne peut pas s’empêcher de s’écrier douloureusement : « Avoir sacrifié cent mille soldats et cent millions pour rien ! ». Il y a cependant quelque chose de plus grave, à un point de vue supérieur. En raison de cette situation, provoquée par Disraeli, la Turquie est admise dans la communauté des nations européennes protégées par le soi-disant « droit international ». Nous écrivons « soi-disant », parce que, auparavant, ce droit, loin de valoir pour tous les peuples de la terre, valait uniquement pour le groupe des nations européennes ; c’était une sorte de défense et de loi intérieure européennes. Avec l’admission de la Turquie, une nouvelle phase du droit international commence, et c’est véritablement la phase dans laquelle le « droit » devient un masque et son caractère « international » une simple ruse démocratique, car il s’agit essentiellement d’un instrument au service des intérêts anglo-juifs, puis français. Ce développement aboutit à la Société des Nations, à sa crise et à la guerre actuelle.
Les dernières années de la vie de Disraeli furent cependant agitées. Les méfaits de la ploutocratie et des cliques pseudo-conservatrices commencèrent à se faire sentir quand elles provoquèrent une crise financière, agricole, et même coloniale, dans tout l’empire dont Disraeli avait rêvé et qui était devenu réalité. Révolte des Afghans, guerre des Zoulous, prodromes de la guerre des Boers. Le vieux Disraeli, devenu Lord Beaconsfield et favori de la reine Victoria, a fini par perdre son poste. Il a été remplacé par Gladstone. Malgré tout, ce n’est qu’un changement de garde. Les cabales, les systèmes, les directives de politique internationale « impérialiste », le faux conservatisme, la mentalité juive qui détruit de plus en plus les résidus de l’ancienne éthique du gentleman et du fair play par une hypocrisie et un matérialisme sans fond, tout cela survit et se développe, dans le cadre de « l’empire » britannique, après Disraeli, et porte toujours la marque de son auteur. Jusqu’à présent.
La tradition veut que, chaque année, les marchands de la City, repère de la ploutocratie anglo-juive, invitent le Lord Mayor et reçoivent les confidences et l’expression de la confiance du premier ministre dans un discours qu’il prononce à cette occasion. Le dernier discours de ce type que prononça Disraeli fut encore une fois une profession de foi « impérialiste » : « Pour les Anglais, être patriotes, c’est maintenir l’empire, et maintenir l’empire est leur liberté ». Ainsi, il faut bien dire que, dans la lutte obstinée et désespérée que mène actuellement l’Angleterre, c’est l’esprit du Juif Disraeli qui continue à vivre. Si les Anglais, en s’y conformant, cause la ruine de leur « empire » et de leur nation, c’est à ce champion du Peuple Elu qu’ils devront en être reconnaissants.
Julius Evola, « Le juif Disraeli et la construction de l’empire des marchands [L’Ebreo Disraeli e la costruzione dell’impero dei mercanti] », La Vita italiana, trad. Thompkins et Cariou, septembre 1940, p. 253-259.