Depuis combien de temps votre groupe existe-t-il ?
Notre groupe existe depuis un peu plus d’un an.
Possède-t-il un local ou pas ? Y a-t-il véritablement un intérêt ou pas à en avoir un ?
Nous avions un local par le passé, nous n’en avons plus actuellement. Un local est un outil intéressant de sociabilisation et de diffusion de nos idées pour les différents événements qu’il peut accueillir.
Quelle est votre présence sur la toile ?
Nous sommes présents sur tous les réseaux sociaux.
Si l’on devait vous classer devrait-on écrire : national-catholique, NR ou identitaire ? Ou un mixte de tout cela ?
Nous sommes un groupe nationaliste breton.
Etes-vous pro-Russes ou pro-Ukrainiens ? Ou ni l’un ni l’autre ? Et pourquoi ?
Nos activités se concentrent sur les choses sur lesquelles nous pouvons avoir un impact. Nous déplorons cette guerre fratricide mais nous n’avons pas un positionnement collectif sur cette question.
Quelle est la sociologie et l’échelle des âges de vos militants ?
Nous sommes principalement un mouvement de jeunes, dans la vingtaine, de tous les horizons sociaux et professionnels. Un panel finalement plutôt représentatif de ce qu’est la jeunesse bretonne en 2023.
Quelles sont les actions passées dont vous êtes les plus fiers ?
Notre action pour dénoncer la construction d’un Monsieur Bricolage à Carnac avec la présence inattendue mais amusante de BFMTV.
Quel est le niveau de répression de la justice et des antifas auquel vous êtes exposés ?
Les antifas sont peu nombreux dans le Morbihan et nous n’avons pour le moment pas de problèmes avec la justice. Nos activités sont légales et publiques.