Votre groupe existe depuis combien de temps ?
Novelum est né le 25 avril 2022, au lendemain de la douche froide nationale qu’ont été les élections présidentielles, comme une alternative à la supercherie démocratique.
Possède-t-il un local ou pas ? Y a-t-il véritablement un intérêt ou pas à en avoir un ?
Nous ne possédons pas de local actuellement mais c’est un projet que nous comptons bien réaliser quand le moment sera venu. Nous avons jusqu’à aujourd’hui préféré privilégier d’autres projets. Nous pensons cependant qu’il y a un grand intérêt à en avoir un. Un local c’est un lieu physique où s’incarnent nos idées, un refuge pour tous les militants d’un groupe et un espace où ils sont vraiment chez eux. En plus de toutes les opportunités que cela peut offrir à un mouvement, ( conférences, soirées, financement etc…) c’est aussi un ancrage fort et symbolique au sein d’une ville qui peut amener les plus timides ou les plus incertains à nous rejoindre.
Quelle est votre présence sur la toile ?
On peut nous suivre sur les réseaux sociaux suivants : telegram, Facebook et surtout instagram où nous sommes le plus présent.
Si l’on devait vous classer devrait-on écrire : national-catholique, NR ou identitaire ? Ou un mixte de tout cela ?
Novelum n’a pas vocation à être un mouvement religieux bien que nos rangs soient formés de catholiques et de païens qui militent ensemble en bonne entente autour d’objectifs communs. Idéologiquement, nous nous décrivons comme nationalistes révolutionnaires. Mais d’un nationalisme révolutionnaire qui n’est pas figé et qui évolue en même temps que les problématiques de son temps.
Etes-vous pro-Russes ou pro-Ukrainiens ? Ou ni l’un ni l’autre ? Et pourquoi ?
Nous ne sommes ni l’un ni l’autre pour la simple et bonne raison que tout comme les ukrainiens, les russes ( du moins ceux de l’ouest) sont des européens. Dans les temps troubles que nous traversons où notre civilisation tend vers un déclin certain, nous préférons propager un message fédérateur plutôt que de faire le jeu de cette nouvelle guerre froide qui contamine à nouveau notre continent et favorise toujours les mêmes grandes puissances.
Quelle est la sociologie et l’échelle des âges de vos militants ?
Chez Novelum nous avons la chance d’avoir une multitude de profils différents représentés. Que ce soit des personnes de la classe moyenne, basse, de la bourgoisie ou même issues de la noblesse française. Nous avons environ 1/4 de filles au sein de notre mouvement et la tranche d’âge se situe entre 18 et 38 ans.
Quelles sont les actions passées dont vous êtes les plus fiers ?
Sur nos dix-sept mois d’existence nous avons une moyenne d’environ trois actions par mois, qu’il s’agisse de collages, tractages, déploiements de banderoles, déplacements militants etc… Nous avons donc déjà la fierté de pouvoir maintenir cette rigueur et cette régularité d’engagement. Hors du militantisme classique de terrain nous avons été fiers de pouvoir mettre en place une marche en hommage à Lola l’an passé où beaucoup de carcassonnais, même étrangers à nos idées nous ont rejoins pour exprimer leur deuil devant cet énième drame qui a secoué notre pays. À côté de tout ça nous sommes aussi et surtout très fiers de l’entraide et de l’ambiance saine et familiale qui règnent au sein de notre communauté militante et de toutes les activités que cette unité a engendrées. On peut citer par exemple nos cours de sport, nos randonnées, nos cercles de lecture et pleins d’autres projets en germe. Novelum a su créer un véritable engouement au sein de la jeunesse Carcassonnaise et des alentours, beaucoup n’attendaient que ça et nous sommes extrêmement heureux de pouvoir compter autant de membres parmi nous, de voir que la source ne se tarit pas et que beaucoup encore vont nous rejoindre et s’épanouir dans cette vie militante.
Quel est le niveau de répression de la justice et des antifas auquel vous êtes exposés ?
Pour le moment nous n’avons pas eu de soucis avec la justice et nous espérons que cela restera ainsi bien que nous savons que tôt ou tard la répression de la république finira par frapper tant elle est devenue récurrente et hostile à l’égard de notre famille de pensée. Nos militants sont prêts à ça et sauront assumer les conséquences de la lutte. En ce qui concerne la vermine antifasciste, à Carcassonne, c’est une vaste blague. Ils ont créé un « collectif » qui est composé de trois ou quatre européens mal dans leur peau, le tout dirigé par un professeur de lycée travaillant à Carcassonne. Ça leur passera… Autant dire que la menace n’est pas bien grande. À part arracher nos autocollants et nos bannières à la nuit tombée, ou pendant les heures où ceux qui ne sont pas des parasites sociaux travaillent, ils ne nous causent pas vraiment de problèmes. Nous ne nous occupons pas vraiment d’eux d’ailleurs, notre combat n’est pas dépendant de leur existence contrairement au leur. Mention spéciale à leur dernier autocollant qui caricature nos deux dirigeants, il nous a bien fait rire, à défaut d’avoir du courage ils ont de l’imagination !