« L’étude idéologique doit être basée à 99% sur les œuvres du Grand Timonier Mao Tse Tong, parce que celles-ci dépassent, en qualité, les opinions de Marx, Engels, Lénine et Staline. »
(Lin Piao)
ORIGINES TAOÏSTES DE LA THEORIE DES CONTRADICTIONS
Mao Tse Tong affirme : « La loi des contradictions inhérentes aux choses, c’est-à-dire la loi de l’unité des opposés, est la loi fondamentale de la nature de la société et, par extension, de la pensée » (1).
Mao admet, avec Marx, que la contradiction est le moteur universel de tout développement. Mais la pensée de Mao diffère de la pensée marxiste au moment où, se plaçant sous la tutelle de la tradition taoïste, elle décrit le caractère complémentaire des adversaires : « Sans le haut, il n’y a pas de bas ; sans le bas, il n’y a pas de haut » (2).
Selon les enseignements taoïstes, yin et yang sont « des principes opposés et, en même temps, complémentaires et inséparables, qui possèdent de multiples valences : ce sont l’éternel masculin et l’éternel féminin, l’actif et le passif, le Ciel (au sens large) et la Terre, le lumineux et l’obscur, le créatif et le réceptif, et ainsi éternellement » (3). Le yin et le yang sont « deux catégories symboliques des éternels opposés, bien qu’ils ne sont pas opposés au sens strict, mais qu’ils sont complémentaires l’un avec l’autre, sont nécessaires l’un à l’autre, l’un ne pourrait pas exister sans l’autre » (4).
C’est le principe de la complémentarité, présent dans les deux principes de la tradition extrême-orientale, celui que nous trouvons au centre de la théorie maoïste de la contradiction, laquelle considère les adversaires dans leur interdépendance : « C’est ce qui se produit avec tous les opposés ; dans certaines conditions ils sont opposés entre eux, dans d’autres ils sont réciproquement reliés : ils se complètent, ils sont perméables réciproquement, ils sont interdépendants ; c’est ce que nous appelons identité » (5). Selon le taoïsme, « l’être et le non-être se succèdent, se placent devant et derrière, se complètent en haut et en bas, possible et impossible sont des différenciations complémentaires » (6), etc.. Dans le taoïsme, l’action permanente des contraires donne lieu à des modifications qui « parfois se complètent, parfois se transfèrent l’une à l’autre » (7).
L’interprétation des contradictions dialectiques opérée dans le maoïsme est reliée à notre avis à la tradition extrême-orientale et propose une revendication des enseignements taoïstes en les revêtant d’une terminologie marxiste-léniniste.
ASPECT SOLAIRE DU NOUVEL ORDRE MAOÏSTE
Dans « Pour approfondir la grande révolution culturelle prolétarienne », Mao Tse Tong écrit : « Le développement de toutes les choses dépend du Soleil et faire la révolution dépend de la pensée de Mao ».
Nous comprenons que dans la présente phrase s’exprime la notion traditionnelle qui identifie le Chef avec le Soleil. C’est ainsi que l’Empereur de Chine devait faire le tour du « Temple de la Lumière » dans le sens du déplacement apparent du Soleil pour un observateur qui regarderait vers le sud, en s’arrêtant douze fois, dans les douze stations symboliques qui correspondent aux douze mois ; « De cette manière il s’identifiait avec les ‘douze soleils’, qui sont les douze ‘âditya’ de la tradition hindoue, et aussi les ‘douze fruits de l’Arbre de Vie’ dans le symbolisme apocalyptique » (8). Mao a hérité des empereurs cette image analogique, image qui est continuellement mise en évidence dans les chants de la révolution chinoise :
« L’Orient est rouge, le Soleil se lève,
Sur la terre de Chine apparaît Mao Tse Tong »
« Le Parti Communiste est comme le Soleil ;
là où apparaissent ses rayons tout est illuminé.
Pour que les créatures croissent elles ont besoin du Soleil ;
Pour faire la révolution nous avons besoin de Mao. »
« La pensée de Mao Tse Tong est un Soleil qui nous indique l’Orient.
Pour naviguer en haute mer nous avons besoin du Grand Timonier.
Respectez et aimez le Président Mao, le grand éducateur, le grand guide.
Soleil du cœur, Soleil rouge du cœur du peuple révolutionnaire.
Vive le président Mao !
Depuis la montagne d’or de Pékin ses rayons illuminent la planète.
Ce Soleil d’or est le président Mao. »
La caractéristique solaire qui est attribuée avec insistance au rôle de Mao Tse Tong conduit à penser que le maoïsme est l’apparition contemporaine de la tradition impériale chinoise.
VOLONTARISME
Le maoïsme offre une réinterprétation des forces agissantes dans l’histoire. Mao réaffirme l’importance des idées dans le développement historique : « Les idées justes sont propres à l’avant-garde du peuple, par laquelle elles pénètrent dans les masses, elles sont une force matérielle capable de transformer la société et le monde » (9).
Alors que dans l’analyse marxiste le rôle attribué aux forces matérielles est prépondérant, la pensée de Mao rétablit l’homme comme facteur décisif : « il est suffisant que des hommes existent, pour accomplir une fin quelconque… La Révolution peut tout changer » (10). D’où la formulation des quatre priorités : de l’homme sur le fait matériel, du travail politique sur les autres activités, de la doctrine sur le travail politique, des idées vivantes sur les idées des littéraires. Nous nous trouvons devant l’image d’un idéalisme volontariste, d’où est exclu tout déterminisme de caractère laïque ou marxiste. Le maoïsme met l’homme à sa juste place : sujet de l’histoire, non objet d’une Histoire superstitieusement finaliste.
Cet idéalisme volontariste est à la base de la révolution culturelle : « La révolution culturelle a pour but la révolutionnarisation de la pensée de l’homme » (11). C’est l’homme le facteur décisif, non l’économie : il ne suffit pas d’insister sur celle-ci, il faut agir sur celui-là. De la même manière, Corneliu Codreanu proposait la « réforme de l’homme » : « Ce pays va vers la ruine par manque d’hommes, non par manque de programmes. C’est notre conviction. Nous ne devons pas créer d’autres programmes, mais d’autres hommes, des hommes nouveaux » (12). Mais l’analogie entre les doctrines de Codreanu et de Mao sera plus évidente quand nous observerons l’importance que revêt le paysan dans le nouvel ordre maoïste.
LA PAYSANNERIE
L’importance de la paysannerie et l’antithèse entre campagne et ville sont des éléments centraux dans la conception maoïste de l’Etat, des éléments qui en Europe ont constitué les fondements des théories « rurales » d’Oswald Spengler, Walther Darré, Karl Dyrssen, Ferenc Szálasi, etc., dans lesquelles la « Bauerntum » [paysannerie] fidèle à la terre était vue comme la source de la force la plus saine du sang et du « Volk ». La conception paysanne de Mao et de Lin Piao connaît, en termes analogues, l’opposition entre le bourgeois, le « nouveau nomade », « l’homme infécond » – protagoniste de la « Zivilisation », phase terminale, crépusculaire de chaque cycle – et la figure antidémocratique du paysan, « principe et source inépuisable du sang qui crée l’histoire mondiale » (13).
Dans le nouvel ordre maoïste on observe de nouveau les prophéties hérétiques qui ont vu dans le bolchevisme le régime élu des soldats-paysans, avec lequel l’Allemagne, revenue à ses traditions socialistes et paysannes, aurait pu faire front commun contre l’« Occident » mercantiliste (14).
Lin Piao écrit : « La guerre de résistance contre le Japon fut essentiellement une guerre révolutionnaire des paysans guidés par notre Parti… Prendre position parmi les paysans, créer les bases rurales et se servir des campagnes pour attaquer ultérieurement les villes : ce fut le chemin qui conduisit la Révolution chinoise à la victoire » (15).
A cette théorie de la création des bases révolutionnaires dans les zones rurales et de leur rapprochement progressif des villes, Lin Piao attribue une valeur universelle : « Nous gagnerons tout le globe terrestre de cette manière. Si l’Amérique du Nord et l’Europe Occidentale peuvent être considérées comme la ‘ville’, l’Asie, l’Afrique et l’Amérique Latine représentent ses ‘zones rurales’. Après la Seconde Guerre Mondiale, le mouvement révolutionnaire du prolétariat dans les pays capitalistes d’Amérique du Nord et d’Europe, pour diverses raisons, a perdu son chemin, tandis que les mouvements révolutionnaires des peuples d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine ont connu un développement vigoureux. En un certain sens, la révolution du monde contemporain est un encerclement des villes par les campagnes » (16).
Ferenc Szalasi, le chef des Croix Fléchées hongaristes, invoquait une insurrection anti-ploutocratique des nations d’économie agricole contre la puissance industrielle d’Europe et d’Amérique du Nord.
Dans cette « distance aristocratique et lutte existentielle contre la bourgeoisie citadine » (17) réside l’opposition entre la société basée sur la fidélité à la terre des ancêtres et la civilisation cosmopolite, entre le sens de la lignée et l’abâtardissement démocratique. Les intellectuels bourgeois considèrent avec horreur cette réalité : « Il est possible que cette adoration délirante pour le chef soit un nouveau développement du racisme, qui jusqu’à présent ne s’est pas attaqué aux autres peuples asiatiques » (18). « Un nouveau mur se construit en Chine, plus haut et plus inexpugnable que le précédent, qui consiste à séparer les Chinois de tous les étrangers présents sur le territoire, de les isoler. Personne ne peut nouer une amitié avec les Chinois, qu’on soit Européen, Africain ou Asiatique » (19).
LA GUERRE
« La guerre endurcit le peuple et lui permet d’accélérer la marche de l’histoire » (20). Cette phrase de Lin Piao, qui peut résumer l’éthique spartiate instaurée en Chine maoïste, a scandalisé toutes les consciences pacifistes, qui ont perçu dans cette affirmation un écho de l’exaltation de la guerre qui fut exprimé dans l’affirmation provocatrice de Marinetti : « l’hygiène du monde ».
Les journalistes de la bourgeoisie ont manifesté leur crainte devant la vision maoïste de la guerre : « Entre les symboles de la Garde Rouge révolutionnaire, avec la faucille et le marteau, on a ajouté un élément nouveau et blasphématoire pour le marxisme : le fusil. Les fusils en disent plus sur Mao que n’importe lequel de ses exégètes. Karl Marx voulait la paix, Mao Tse Tong veut la guerre ; Karl Marx prêchait la paix comme fin de la lutte de classes, Mao Tse Tong proclame l’éternité de la guerre populaire… » (21).
L’héroïsme révolutionnaire occupe un chapitre spécial du « Livre Rouge » : en lui sont exaltées les vertus guerrières, le courage, le sacrifice et l’esprit de lutte : « Une armée va ainsi toujours de l’avant, décidée à vaincre et à ne pas se soumettre à l’ennemi. Même dans les conditions les plus difficiles elle continuera à combattre jusqu’au dernier homme » (22). « Nous développerons continuellement notre style de lutte – courage dans la bataille, aucune crainte devant l’ennemi, aucune crainte devant la fatigue et une lutte continue, un acharnement à livrer bataille successivement dans un intervalle de temps bref et sans repos » (23).
« Des milliers et des milliers de martyrs ont héroïquement sacrifié leurs vies dans l’intérêt du peuple. Levons-nous, avançons sur cette estrade rougie par leur sang ! » (24). Le maoïsme témoigne d’une reconnaissance précieuse pour les valeurs héroïques et oppose au pacifisme une conception guerrière de la vie, avec la spiritualité, les valeurs et l’éthique qui sont caractéristiques d’une telle conception. Cette conception ne laisse pas de place à l’individualisme, mais prêche cette impersonnalité active qui, dans un climat libre de suggestions subjectives, donne lieu au sacrifice héroïque, qui par définition est désindividualisé, anonyme.
Face à la société du marchand qui exalte seulement les « vertus civiques », qui « identifie les valeurs matérielles avec les valeurs en soi et dont l’idéal de vie est la vie sûre et confortable du travail, la production, le sport, le cinéma et la sensualité » (25), le maoïsme propose comme alternative un type de société dont la première place est occupée par le guerrier et par le héros.
Mais il ne faut pas penser que le marxisme, en proposant une morale militaire de rang supérieur à la morale bourgeoise, ne prend pas de précautions contre le militarisme : « Le parti doit guider le fusil, le fusil ne doit jamais guider le parti » (26). L’élément militaire et, en général, guerrier, se trouve dans la sphère des moyens, non des fins : dans l’ordre maoïste il doit être subordonné au principe politique, comme dans l’Etat platonicien l’élément volitif et la caste guerrière sont subordonnés à l’élément intellectuel et à l’élite des sages-initiés.
L’ART
« Notre littérature et notre art sont au service de la grande masse du peuple des ouvriers, des paysans et des soldats ; il est créé par les ouvriers, les paysans et les soldats et est au service des ouvriers, des paysans et des soldats » (27).
Quatre ans plus tard le stalinisme formule en termes analogues sa théorie de l’art : « Il convient à la littérature d’aider adéquatement l’Etat à élever la jeunesse, répondre à ses problèmes, apprendre aux nouvelles générations à être courageuses, à croire en leur cause, à se montrer intrépides en surmontant les obstacles et les barrières… » (28).
Cette vérité relative de l’art est similaire dans la conception politique de Platon : « Le totalitarisme platonicien (…) naît de la conscience que la vieille classe dirigeante est morte et que la nouvelle n’est pas encore née. Vu selon cette perspective, le totalitarisme platonicien présente des coïncidences historiques significatives avec le totalitarisme moderne, qui veut remplacer les vieilles élites politiques déplacées par les révolutions libérales » (29).
Contre les théories bourgeoises mystificatrices sur l’art, Mao affirme qu’« il n’existe pas, en réalité, un art pour l’art, un art en marge des classes, un art qui se développe en-dehors de la politique ou indépendamment d’elle » (30) ; l’art en Chine doit être un art populaire. A la manière de Platon, Mao définit ce qu’il appelle un art « libéré », qui échappe en même temps aux modèles de poésie traditionnelle. Mao Tse Tong, poète lui-même comme les vieux empereurs Han, Leang, Tang et Wei, connaissait l’exercice des formes traditionnelles de la poésie, auxquelles il se conforme, en les dotant d’élégance, de force et d’aristocratie (31).
LA MEDECINE
Dans le domaine de la médecine, le maoïsme présente une alternative traditionnelle à la pseudoscience qui est devenue prédominante dans le monde moderne. L’acuponcture a été pratiquée en Chine depuis des temps très reculés, et l’Occident capitaliste est obligé d’admettre qu’elle contredit l’idée de « progrès » : « Après la guerre de l’opium, en 1840, parmi la décadence générale du pays et l’asservissement toujours plus accentué des empereurs Ching par les agresseurs impérialistes, l’acuponcture occupa un rang secondaire, et la situation s’aggrava encore plus sous le gouvernement réactionnaire du Kuomintang, qui exerça une véritable discrimination contre cette thérapie traditionnelle » (32).
Le nouvel ordre de Mao Tse Tong a signifié, dans le domaine scientifique, une redécouverte de la médecine traditionnelle. « Depuis la fondation de la nouvelle Chine, le Parti et l’Etat ont pris plusieurs mesures pour développer les thérapies traditionnelles, ainsi plusieurs centres de recherche à Pékin et dans les grandes villes ont été fondés, ainsi on a institutionnalisé des services d’acuponcture dans la totalité pratique des hôpitaux » (33). Le principe de base de l’acuponcture, comme celui de toute la médecine traditionnelle chinoise, est la doctrine traditionnelle selon laquelle la maladie provient de la rupture de l’équilibre que maintient une tension idéale entre le yang (masculin, actif) et le yin (féminin, passif). La médecine chinoise veut aller jusqu’au niveau des causes, au contraire de la médecine profane, qui s’applique au niveau des effets et qui peut être décrite, tout au plus, comme symptomatique.
« Mais il existe un autre point de vue qu’il faut prendre en considération : la médecine chinoise, comme toutes les sciences traditionnelles, a en elle les éléments symboliques qui lui permettent de s’exercer dans le cadre de la philosophie taoïste comme véritablement cognitive, de servir de base adéquate à la réalisation personnelle. De même que devant la maladie le médecin chinois tentera de reconstituer l’équilibre relatif pour la santé, ainsi il servira au patient de clé symbolique pour sa réalisation comme Tchenn-jen, comme Homme vrai, qui est le point d’où part tout le processus de connaissance qui conduit aux états supérieurs de l’être et qui culmine dans l’identité avec le Tao, c’est-à-dire, dans la condition de Cheun-jen ou Homme transcendant (34).
A l’heure de construire une alternative à la pseudoscience du monde moderne, la réponse de la science traditionnelle patronnée par le maoïsme pose les conditions favorables pour la réalisation de l’aspect initiatique inscrit dans les arts et dans les professions. Dans le cas de la médecine, l’acuponcture revendiquée par la révolution maoïste, met à sa place les bases du dicton traditionnel : « Guéris-toi toi-même ».
Claudio Mutti
(« Quaderni del Veltro », Bologne 1973)
NOTES
1) Mao Tse Tong, « Sur la contradiction ».
2) Idem.
3) Julius Evola, « Introduction au Tao Te King ».
4) René Guénon, « La Grande Triade ».
5) Mao Tse Tong, op. cit.
6) Lao Tseu, « Tao Te King ».
7) Julius Evola, op. cit.
8) René Guénon, op. cit.
9) Mao Tse Tong, « Où sont les idées justes ? ».
10) Mao Tse Tong, « Discours de du 16 septembre 1949 ».
11) Décisions du C.C. du P.C.CH., août 1966.
12) Corneliu Z. Codreanu, « La Garde de Fer ».
13) Oswald Spengler, « Le Déclin de l’Occident ».
14) C’est la thèse soutenue par Karl Dyrssen, qui dans son livre « Die Botschaft des Ostens », écrit en 1933, approuvait la révolte des paysans au nom du « socialisme prussien », qui devait libérer complètement l’Allemagne du capitalisme bourgeois. En termes généraux, c’est la thèse de tous les nationaux-bolcheviks, non seulement en Allemagne, mais dans beaucoup d’autres pays européens.
15) Lin Piao, « Vie et victoire de la guerre populaire ».
16) Op. cit.
17) Giorgio Freda, « Deux lettres à contre-courant ». A propos du rôle de la paysannerie dans le nouvel ordre chinois, l’auteur écrit : « Peut-on nier que la formule – ou mieux, le mot d’ordre – de Lin Piao, articulée dans la lutte de ‘la campagne contre la ville’, suggère l’exigence semblable indiquée par Spengler, et que certains reliefs du ‘paysage’ chinois actuel indiquent (par son régime de conditionnalité historique et autres raisons diverses) des lignes analogues à celles, que sut exprimer en Europe, par exemple, le prussianisme ? ».
18) Salvatore Pellegrino, « Epoca », Nº 834.
19) Lamberti Sorrentino, « Tempo Ilustrato », Nº 45.
20) Lin Piao, op. cit.
21) Lamberti Sorrentino, op. cit.
22) Mao Tse Tong, « Sur le gouvernement de coalition ».
23) Mao Tse Tong, « La situation actuelle et nos ennemis ».
24) Mao Tse Tong, « Sur le gouvernement de coalition ».
25) Julius Evola, « Les hommes au milieu des ruines ».
26) Mao Tse Tong, « Les problèmes de la guerre et de la stratégie ».
27) Mao Tse Tong, « Intervention à la conférence de Yenan sur les problèmes de la littérature et de l’art ».
28) La Pravda, 2 août 1946.
29) Adriano Romualdi, « Platon ».
30) Mao Tse Tong, op. cit.
31) Beaucoup des poésies écrites par Mao sont nées dans l’expérience du combat, et en elles se révèle une vision-du-monde non profane, mais, si nous pouvons le dire ainsi, traditionnelle ; comme la poésie « Les Immortels », où à propos de deux héros révolutionnaires il est dit qu’ils ne sont pas morts, mais qu’ils ont conquis l’immortalité et se trouvent dans le Ciel, parmi les dieux.
32) Commentaire dans un livre sur l’acuponcture de l’Université de Pékin, 1972.
33) Idem.
34) Tullio Masera.