Troisième voie : un combat pour la révolution européenne

jeune garde en manif 6a230

Seul mouvement nationaliste-révolutionnaire en France, Troisième voie lutte pour :

-l’indépendance et l’unité de l’Europe,
-l’instauration en Europe d’une démocratie organique.

Lutter pour l’unité et l’indépendance de l’Europe

-c’est éliminer par tous les moyens l’impérialisme yankee sous toutes ses formes (impérialisme culturel, économique, militaire, politique, etc.)
-c’est s’opposer au métissage généralisé de notre peuple par l’immigration,
-c’est défendre et promouvoir notre patrimoine culturel européen, et nos cultures nationales et locales.

Lutter pour l’instauration en Europe d’une démocratie organique

-c’est dans le cadre d’une Europe unitaire revendiquer une très large décentralisation en faveur des collectivités inférieures (communes, régions) et la pratique d’une démocratie directe, ou semi-directe, dans le cadre de celles-ci,
-c’est exiger la nationalisation des multinationales et des grands trusts, l’abolition des privilèges bourgeois, la répression de l’usure et de la spéculation,
-c’est combattre pour une organisation communautaire des entreprises et pour la participation.

Seul mouvement nationaliste-révolutionnaire en France, Troisième voie a comme ennemi prioritaire le Système.

L’ennemi de toute renaissance européenne c’est l système, incarné par l’impérialisme américano-sioniste et par le capitalisme multinational.

Tous les partis politiques d’Europe, ou presque, se définissent par rapport à lui et non contre lui (En France, par exemple, l’Oeuvre française et la Ligue communiste révolutionnaire ne représentent rien d’autre que l’extrême-droite et l’extrême-gauche du système). Troisième voie est en France le seul groupe organisé luttant contre le Système.

Seul mouvement nationaliste-révolutionnaire en France, Troisième voie travaille à la redécouverte des bases doctrinales de ce courant et à la constitution de nouveaux fronts.

Redécouvrir les bases doctrinales du nationalisme révolutionnaire, c’est rompre une fois pour toute avec le folklore et avec la réaction, et affirme rnotre filiation avec les socialistes français tels Louis-Auguste Blanqui et Pierre-Joseph Proudhon, avec Georges Valois, avec les NR allemands tels Ernst Niekisch, Ernst Jünger, Karl-Otto Paetel et Wener Lass, avec les espagnols Manuel Hedilla et Ramiro Ledesma Ramos, avec Juan Peron et Gamal abd-el Nasser.

Constituer de nouveaux fronts, c’est rompre une fois pour toute avec l’extrême droite du système sous ses formes groupusculaires ou parlementaires, c’est oser envisager de nouvelles alliances (révolutionnaires du tiers-monde, neutralistes, écologistes, etc.) et de nouveaux combats liés au peuple et à son quotidien.

Avec Troisième voie et ses partis frères dans toute l’Europe, il est temps de construire le parti révolutionnaire de l’Europe unitaire.

Texte publié en septembre 1990.
Retour en haut