Ce sacré Benito !

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« C’est un individu d’un caractère vif, parfois impulsif et violent. Cependant, grâce à son éducation supérieure à la moyenne, il a bonne réputation. Son intelligence est vive, et il a une certaine culture. »

(rapport de la police de Forli, 1907)

« Mussolini est le premier communiste d’Europe. »

(Lénine, 1912)

« Notre Mussolini n’est pas un socialiste ordinaire. (…) C’est un Italien du XVe siècle, un condottière ! On ne le sait pas encore, mais c’est le seul homme énergique capable de redresser les faiblesses du gouvernement. »

(Georges Sorel, 1912)

« Mussolini était le seul parmi vous avec l’esprit et le tempérament pour faire une révolution. Pourquoi l’avez-vous laissé partir ? »

(Lénine, après l’exclusion de Mussolini du Parti socialiste italien en novembre 1914)

« [Mussolini] est un génie politique. »

(Georges Sorel)

« Nous futuristes, prophètes et précurseurs de la grande Italie d’aujourd’hui, sommes heureux de saluer en notre Premier Ministre pas encore âgé de 40 ans un merveilleux tempérament futuriste. »

(Tommaso Marinetti)

« J’ai toujours eu la plus grande admiration pour Mussolini (…) [il] sait, comme peu de gens le savent, que la réalité n’existe que dans le pouvoir de l’homme de la créer… »

(Luigi Pirandello, novembre 1923)

« Mussolini est l’homme qui (…) a restauré le temple de l’Italie profanée. »

(Il Popolo d’Italia, 4 novembre 1924)

« L’œuvre de Mussolini est une des merveilles du XXe siècles. »

(New York Herald Tribune, 7 octobre 1925)

« Nous avons en lui le César moderne, le Napoléon de 1925. »

(New York Herald Tribune, 21 novembre 1925)

« Nous ne pouvons que nous réjouir du regain d’énergie que le nouveau parti donne à la nation italienne. Il importe, pour ne pas être alarmés, de faire un large crédit à la sagesse latine et à la prudence de Mussolini. »

(article dans Le Figaro)

« J’avoue ouvertement qu’en ces années (entre 1919 et 1925) j’ai conçu la plus grande admiration pour le grand homme né au sud des Alpes, qui, animé d’un amour brûlant pour son peuple, n’a pas pactisé avec tous les ennemis intérieurs de l’Italie, mais s’est efforcé de les anéantir de toutes ses forces et par tous les moyens. Ce qui rangera Mussolini parmi les grandes figures de l’Histoire, c’est la détermination avec laquelle il a refusé de partager l’Italie avec le marxisme et l’énergie avec laquelle il a poursuivi l’anéantissement de l’internationalisme pour sauver sa patrie de son emprise. »

(Adolf Hitler, Mein Kampf, 1925)

« Le Duce [est] un héros, un esprit privilégié et providentiel, dans lequel la pensée s’incarne et vibre sans cesse au rythme puissant d’une vie jeune et abondante. »

(Giovanni Gentile, discours du 19 décembre 1925)

« Puisse Dieu nous accorder un Mussolini à nous aussi ! »

(Edouard Schuré, 1926)

« Je pense énormément de bien de Mussolini. Si on le compare aux présidents américains ou aux premiers ministres britanniques… on ne peut pas le faire sans l’insulter. »

(Ezra Pound, 1926)

« Mussolini, rénovateur de la nation italienne, est digne d’une place dans l’histoire, semblable à celle de Garibaldi qui en fut le fondateur. »

(New York Herald Tribune)

« Mussolini est le génie romain incarné, le plus grand législateur vivant… Si j’avais été Italien, je suis sûr que j’aurais été de tout cœur avec vous du début à la fin de votre lutte triomphale contre les appétits bestiaux et les passions du léninisme. Je dirai encore un mot sur l’aspect international du fascisme : votre mouvement a rendu service au monde entier. L’Italie a montré qu’il y a un moyen de combattre les forces subversives, qui peut rallier les masses du peuple, les diriger d’une manière appropriée, pour valoriser et défendre l’honneur et la stabilité de la société civilisée (…). A partir de maintenant aucune grande nation ne sera démunie d’un moyen ultime de protection contre la croissance cancéreuse du bolchevisme. »

(Winston Churchill, parlant à Rome le 20 janvier 1927)

« L’œuvre du fascisme n’est rien de moins qu’un miracle. »

(Morning Post, 24 octobre 1928)

« Le sculpteur de la nation italienne ! »

(formule de propagande fasciste)

« Mussolini a toujours raison ! »

(formule de propagande fasciste)

« C’est un élisabéthain. Tout en tenant compte des changements de circonstances, il est pour l’Italie moderne ce que Raleigh et Drake étaient pour l’Angleterre au temps de la reine Elizabeth … Personne ne pourrait faire ce que Mussolini a déjà fait sans être grand – sous certains rapports du moins – grand par la force de volonté, par le courage, par l’idéal qui assigne à l’homme un noble but. »

(Ward Price, dans le Daily Mail)

« On ne peut douter que Mussolini ne soit un grand homme : celui qui a retenu son pays au bord de l’abîme. Et le grand homme est en train de devenir dieu. Puis-je dire que j’ai assisté à ce miracle ? »

(Emile Henriot)

« Il apparaît comme une espèce d’envoyé des dieux et les foules lui vouent le même culte qui est rendu au Grand Lama du Tibet. »

(La Victoire, Paris)

« J’admire Mr. Mussolini, j’aime son courage, la magnifique école d’énergie qu’il a faite de l’Italie, son grand défi à la facilité, son entreprise d’héroïsme. »

(Louis Gillet, académicien français)

« Nous avons un grand pape et Mussolini est un homme de génie. »

(cardinal Dubois, archevêque de Paris, 1929)

« Mussolini est un homme de la Providence. »

(le pape Pie XI, après les accords du Latran)

« [Mussolini est] un homme de la Providence, illuminé par Dieu. »

(déclaration de l’archevêque de Naples, années 30)

« L’homme aux yeux d’aigle qui guide les destinées de l’Italie. »

(cardinal Pacelli, futur pape Pie XII)

« Mussolini est l’unique figure gigantesque d’Europe. »

(l’archevêque de Canterbury)

« Mussolini est le plus grand génie de l’ère moderne. »

(Thomas Edison)

« Il n’a pas appris les bonnes manières politiques à Oxford… »

(Curzio Malaparte, Technique du coup d’Etat, 1931)

« Je ne crois pas qu’en Europe il existe des hommes aussi exceptionnels que Mussolini. »

(Stanley Baldwin)

« Mussolini nous a donné la certitude de notre victoire. (…) Pour nous, il sera l’astre lumineux qui nous aura appris l’espérance, il sera la preuve que le communisme peut être vaincu, il sera une confirmation de nos propres chances de victoire. »

(Corneliu Codreanu)

« Le grand Italien représente la première émergence de l’homme moderne au pouvoir. »

(Oswald Mosley, dans le Daily Mail, 1er février 1932)

« [Mussolini est] la plus forte personnalité du monde moderne. »

(Herald Tribune, New York)

« Ce sentiment du juste moment, associé à un sens latin de l’équilibre, est l’un des dons les plus frappants du génie de Mussolini. »

(comte Coudenhove-Kalergi, interview, mai 1933)

« Mussolini n’est pas un chef de parti, bien qu’il ait été auparavant un dirigeant ouvrier, c’est le seigneur de son pays. »

(Oswald Spengler, Années décisives, 1933)

« Il n’est pas donné à chaque nation d’engendrer un véritable Mussolini. »

(H.P. Lovecraft, correspondance privée, 25 septembre 1933)

« Le Duce est un homme d’Etat de premier plan, complètement désintéressé. »

(Gandhi)

« A mon dernier voyage, j’ai rencontré Mussolini, et j’en ai gardé la vision d’un homme qui a conçu et accompli des miracles. La force et le charme de ce leader et l’immensité de ses réalisations sont incontestables. »

(Sacha Guitry, février 1934)

« Si vous saviez, paysans français, ce que Mussolini a fait pour les paysans italiens, vous demanderiez tous un Mussolini pour la France. »

(Henri Dorgères, mars 1934)

« L’admiration méritée par Mussolini ne se discute pas. »

(colonel de La Rocque, Service public, 1934)

« …quel est le secret du succès de Mussolini ? C’est simplement d’avoir ressuscité les principes de gouvernement des Romains et de les avoir modelés sur la vie moderne. »

(John Hemming Fry, Révolte contre la beauté, 1934)

« [Mussolini est] l’un des plus grands hommes politiques de tous les temps. »

(Léon Daudet, décembre 1934)

« Malheureusement, je ne suis pas un surhomme comme Mussolini. Je suis un simple mortel qui est loin de posséder son sang-froid et son inépuisable réserve d’énergie. »

(Gandhi)

« Les lois du Duce et de ses fidèles constituent une pierre milliaire de l’évolution mondiale. »

(Antony Eden)

« Politique réaliste, il a, au contact des choses, abandonné ce que sa doctrine pouvait avoir d’exagérément théorique pour l’adapter aux nécessités de la politique vivante. En treize ans, Mussolini a profondément transformé l’Italie et en a fait la grande puissance que ses fils les plus ambitieux osaient à peine imaginer. »

(Jacques Bainville, Les dictateurs, 1935)

« Le gouvernement britannique aurait beaucoup gagné en suivant l’exemple de Mussolini. »

(Lloyd George)

« Mussolini est le plus grand homme d’Etat de l’Europe moderne. »

(Sir Samuel Hoare)

« Nous aurions besoin de prendre quelques leçons de Mussolini. »

(Austin Chamberlain)

« Mussolini est plus grand que son temps. Tel je l’ai vu en 1932, aux fêtes et réceptions, publiques et privées, d’un congrès romain, tel je le retrouve dans les pages de Massis, robuste et simple, toujours en direct dans ses propos. (…) Il n’a jamais été, comme Hitler, l’interprète d’un délire. Il a été l’éducateur, le père de son peuple . »

(Daniel Halévy, dans Candide, 28 juin 1939)

« Mussolini est un homme très sensé et équilibré, avec une claire idée de sa propre politique et de la nature des autres nations. »

(Hillaire Belloc, lettre, 4 août 1939)

« Que se serait-il passé si l’Italie, au lieu de devenir fasciste, était devenue communiste ? Nous devons être reconnaissants au Duce d’avoir écarté ce danger de l’Europe. C’est là un service rendu par lui qu’il ne faudra jamais oublier. Mussolini est un homme à la taille des siècles. Sa place est marquée dans l’Histoire. L’Italie, que ne doit-elle pas à Mussolini ? Quelles réalisations dans tous les domaines ! »

(Adolf Hitler, Libres propos, 20 novembre 1941)

« Le Duce n’est pas un révolutionnaire à la manière du Führer ou de Staline. Il est tellement lié à son italianité qu’il lui manque les traits de caractère qui font les grands révolutionnaires et les grands entraîneurs d’hommes. »

(Goebbels, Journal, 1943)

« …Mussolini, le génial précurseur… »

(Lucien Rebatet, article dans Je suis partout, 28 juillet 1944)

« Le dernier des Romains ! »

(Adolf Hitler, Libres propos)

« S’il était resté socialiste, [Mussolini] aurait pu être l’espoir du monde prolétarien. »

(Pietro Nenni, 1952)

« Mussolini [fut] l’un des deux grands conducteurs d’hommes qui tentèrent de s’opposer au progrès de la marée pharisaïque. L’énergie, la franchise, le mépris souverain des utopies mensongères, une noble fierté face à un monde vil, tel était le caractère de Mussolini. »

(Albert Maillet, Les deux témoins de l’Apocalypse, 1961)

« Mussolini (…) rêvait d’une Italie militaire, romaine, casquée, indomptable. Il entendait le pas des légions. (…) à force d’en parler, il crut à la ‘nation guerrière’. (…) Il regardait un rêve de dictateur au lieu de regarder le visage de l’Italie. (…) Mussolini est mort de son césarisme, de l’isolement que le césarisme entraîne… »

(Maurice Bardèche, Qu’est-ce que le fascisme ?, 1962)

« Les caractéristiques notables de Mussolini étaient la rapidité, l’étendue et la pénétration de son intelligence. Il avait l’esprit le plus rapide et le plus clair parmi tous les hommes d’Etat que j’ai rencontrés, à l’exception peut-être de Lloyd George. Ils étaient très similaires dans leur capacité à aller directement au cœur d’un sujet. Il avait une érudition profonde plutôt qu’étendue, car il s’était surtout concentré sur les sujets qui l’intéressaient et le concernaient. (…) Quiconque le connaissant ne pouvait nier son charme ou son sens de l’humour. »

(Oswald Mosley, interview dans les années 60)

« A force de réclamer la Corse, Mussolini finit par se prendre pour Napoléon. Tout cela se terminera très mal (…). Il aura juste le temps de redevenir républicain et socialiste, avant de se faire pendre par les pieds, comme un petit dictateur sud-américain. »

(Jean Mabire, article dans Item, février 1976)

« La modestie n’a jamais étouffé Benito Mussolini… »

(André Brissaud, Mussolini, t.2, 1983)

« C’était un homme plein de spontanéité, très sûr de lui, à la tête puissante, au menton massif et vainqueur, au langage amusant, parfois précipité. Il était direct et coloré, théâtral, la pupille noire tournant comme une toupie. (…) Il avait créé en Italie une œuvre considérable… L’homme et l’œuvre étaient transcendants. »

(Léon Degrelle, Persiste et signe, 1985 ; interviews réalisées en 1976)

« [Mussolini est] le plus grand homme d’Etat du siècle. »

(Gianfranco Fini, 1990)

« Moi je crois que Mussolini était un bon politicien. Tout ce qu’il a fait, il l’a fait pour l’Italie. »

(Giorgia Meloni, 20 avril 1996)

« Mussolini (…) a fait de bonnes choses dans de nombreux domaines. »

(Silvio Berlusconi, janvier 2013)

« Le premier qui a fait du national-social. »

(Alain Soral, 2020)

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