1 – Clarification doctrinale du GUD alors qu’on voit fleurir ici et là les polémiques publiques sur le supposé “NR”, « libéralisme », “marxisme” des uns et des autres : – Nous sommes nationalistes et révolutionnaires, donc par essence antigauchistes et antilibéraux.
2 – Le libéralisme au pouvoir en France et plus largement en Occident est notre ennemi, nous rejetons ce modèle de société catégoriquement et souhaitons la chute de ce système à tuer les peuples. Nous ne nous reconnaissons donc aucun allié parmi le gouvernement et sa police.
3 – Nous rejetons catégoriquement et totalement le marxisme et le communisme ou tout autre projet révolutionnaire internationaliste qui viserait à arracher l’homme de sa condition naturelle pour une utopie délirante. Les groupes qui professent ses idéologies sont nos ennemis.
4 – Nous rejetons donc également le totalitarisme islamiste qui vise à unifier le monde sous la houlette d’une seule culture et d’une seule religion. Nous n’appelons pas à une guerre de civilisation contre l’Islam à travers le monde mais refusons la conquête de l’Europe.
5 – Les personnes qui tentent de partir des positions de politique étrangère d’un groupe pour en déduire celles qu’il adopte en France et l’assigner à un camp politique sont en général : – Des agents d’influence d’Etats étrangers ou de diaspora revendicatives. – Des imbéciles.
6 – Nous sommes nationalistes français et européens avant toute chose. Cependant, nous soutenons et sympathisons avec les luttes semblables à la nôtre dans les autres pays du monde. Contre l’internationalisme, nous revendiquons le droit de chaque peuple à être maître chez soi.
7 – Les NR sont les premiers à avoir alerté le grand public sur les dangers de l’invasion migratoire et du remplacement de peuple, et ont toujours payé du prix fort la confrontation avec le gauchisme. Nous n’avons de leçons à recevoir à ce sujet d’aucun commentateur de droite.
8 – Cependant, nous n’avons jamais laissé un anticommunisme archéologique nous détourner des questions les plus cruciales de notre temps et nous enfermer dans une haine absurde de toute contestation sociale. Nous refusons le ralliement au parti de l’Ordre et aux briseurs de grève.