Les émeutes survenues en réaction de la mort du jeune délinquant Nahel (déjà multirécidiviste à 17 ans) au volant d’une voiture suite à un refus d’obtempérer démontrent une fois de plus que le multiculturalisme promu par la société marchande nous plonge toujours plus dans le délitement social et le chaos.
Si nous condamnons avec fermeté les actes de barbarie de la part d’une grande partie de la jeunesse banlieusarde désœuvrée, nous ne pouvons pas nous empêcher de penser que la responsabilité incombe avant tout les promoteurs de l’immigration constante et massive.
Des tenants du pouvoir, des décideurs économiques de droite comme de gauche, jusqu’à l’extrême gauche fascinée par la figure du délinquant comme nouveau héros révolutionnaire, tous sont responsables de ces violences de plus en plus fréquentes.
Condamner les pillages, agressions et destructions sans dénoncer la cause profonde de notre société malade ne résoudra rien. D’autre part, l’appel à plus de police et de surveillance ne fera que renforcer l’État, de plus en plus liberticide.
Cette délinquance nuit au quotidien aux travailleurs, aux petits commerçants mais très peu aux grand patronat. Les crises et désordres servent ceux qui sont au pouvoir, assoyant un fonctionnement tyrannique envers la majorité des français.
Les lois sécuritaires cibleront par la suite les opposants au régime tout en engendrant toujours plus de délinquance. Il est déjà question d’amalgamer la colère radicale des gilets jaunes à la violence des délinquants, comme vient de le faire le préfet de police de Paris afin de mieux appliquer la répression et la censure envers les mouvements sociaux et autres contestataires politiques.
Le mot d’ordre des nationalistes révolutionnaires, patriotes sociaux et plus généralement de tous les opposants au mondialisme est de renvoyer dos à dos droite comme gauche, les racailles du bas comme celles du haut, en dénonçant et combattant le gauchisme culturel au même titre que les tenants du libéralisme économique.