Préparez-vous !

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Parmi les raisons d’aller voter, il y a celles-ci : non seulement la gauche n’hésitera pas à faire élire ses éléments les plus radicaux -contrairement à la droite pusillanime- mais en plus le risque qu’elle soit majoritaire existe. Les sondages actuels ne disent pas tout, car le scrutin est majoritaire et à 2 tours.

Imaginez des ministères LFI avec des députés antifas : nous ne sommes pas préparés.

Cependant si la gauche ne l’emporte pas, il y a fort à parier qu’elle continue sa fuite en avant dans la violence de rue, rejointe par une partie des banlieues. A fortiori si Bardella finit 1er ministre. Il faut s’attendre à beaucoup de commerces, d’associations et de personnalités attaqués.

Voilà pourquoi il ne faut donner aucune arme électorale à la gauche dans les 3 semaines à venir, et la laisser tout casser sans réagir. C’est très bien, elle montre le visage qu’elle a depuis la prise de la Bastille : un mélange de cyniques nihilistes, d’utopistes dangereux et de demeurés plein de ressentiments que le regroupement en foule déchaîne.

Par la suite évidemment, ce sera une autre histoire. Nous sommes depuis plusieurs années dans une sorte d’avant-guerre civile. Les autochtones se scindent en camps irréconciliables dans un pays occupé de manière de plus en plus importante par des populations encore moins réconciliables.

LMPT, bonnets rouges, Gilets Jaunes, manifs des retraites, émeutes, révoltes paysannes, islamo-gauchisme etc. Tout le monde pressent bien que la suite sent mauvais.

Laissons la séquence électorale apporter ce qu’elle a de bon à apporter sans donner de grain à moudre au système politico-médiatique et à la répression. Attendons que la majorité légaliste soit suffisamment excédée pour se révolter vraiment.

La suite sera quoiqu’il arrive assez rude pour les Français en général et les militants nationaux en particulier : pensez sécurité, alternative communautaire et auto-défense. À toute chose malheur est bon : ce qui arrive ne peut que nuire à la République !

Ni triomphalisme, ni catastrophisme électoral. Ni passivité, ni activisme désordonné et contre-productif : nous vivons peut-être un moment historique, il faut réfléchir et agir avec sang-froid sans se laisser surprendre.

Direction sécession !

Jean-Eudes Gannat.

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