Christian Bouchet soumis à la question par Réfléchir et agir

valois

Votre première adresse ?

Rue des lices, à Angers.

Votre ville (ou lieu) préférée ?

Les Grands Causses et tout particulièrement le Causse Méjean et le Causse du Larzac.

Le pays (hormis la France) où vous pourriez vivre ?

L’Inde du Nord, dans ses vallées himalayennes.

Croyez-vous à Dieu ou au Diable ?

Aux deux, au bien et au mal.

Vos héros dans la fiction ?

 Les divers personnages des Manants du roi de Jean de La Varende. Les personnages des romans de Jean Lartéguy.

Vos héros dans la vraie vie et l’histoire ?

Mishima, Ungern, Codreanu… Rien que de très banal chez « les nôtres ».

Quel personnage célèbre aujourd’hui mort auriez-vous aimé rencontrer ?

Julius Evola.

Les écrivains que vous aimez ?

Augiéras, Barbey d’Aurevilly, D’Annunzio, Drieu, Hamsun, Huysmans, La Varende, Matzneff (quitte à choquer…), Montherlant, Mishima, Loti, Louys, Rebell… Lartéguy durant mon adolescence.

Le supposé chef-d’œuvre qui vous tombe des mains ?

 Tout Céline. Je n’ai jamais compris l’engouement de notre milieu pour lui.

 La boisson qui vous rend meilleur ?

L’absinthe.

Un plat qui ne tombe pas à plat ?

 Des aminelles poêlées ou persillées à la crème.

 Le disque que vous voudriez écouter à cet instant ?

La version française d’Agni parthene par Nana Peradze.

Le musicien, le chanteur ou le groupe que vous auriez aimé voir ?

Alain Danielou jouant de la vînâ.

Quelques films qui vous touchent particulièrement ?

Tess de Polansky, Barry Lindon de Kubrick. Des films qui datent de ma jeunesse.

Un tableau que vous verriez bien chez vous (méthode Goering) ?

 Un Nicolas Roerich, n’importe lequel. Ou, à défaut, un Louis Icart ou un Norman Lindsay.

 Un poète pour vous accompagner ?

Fernando Pessoa.

Le dernier livre que vous ayez acheté ?

 Louis de Bonald, théoricien de la contre-révolution de Jacques Alibert (Téqui, 2002).

 Que diriez-vous à Anne Hidalgo si vous restiez coincé seul avec elle dans un ascenseur ?

Je ne parle qu’aux jolies femmes quand je partage avec elles un ascenseur. Donc, là, je resterais muet.

Si je vous dis Marine Le Pen…

Je crois toujours en elle.

 

 

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